Allie et Nicole (23) |
Adaptation française par Perverpeper le 10/07/10
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Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Annie the slick" que j’ai trouvé sur le site "BdsmLibrary" : (http://www.bdsmlibrary.com/stories/author.php?authorid=292)
Elle y a publié deux autres textes : "Modern Maid" et "L.E.Z. – The Lesbian Sorority".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans l’autorisation formelle de l’auteur.
Si cette adaptation vous intéresse et que vous souhaitez lire les autres histoires d’Annie en français, veuillez me contacter à l’adresse suivante : perverpeper@ifrance.com (ou bien sur mon site : http://www.perverpeper.com).
Dans l’attente de vos réactions et commentaires…
PP
Synopsis : Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par sa baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. La pauvre Allie sera humiliée, forcée à satisfaire sa nouvelle maîtresse de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.
Chapitre 23 : La Réception.
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Avec :
Les reines de l’apnée : Allie, Lauren, Alex, Coquette, Miranda, Susan, Nicole, Isis, Tawnee, Elizabeth, Aphrodite, Aurora, Athena, Mistress Jytte, Sarah, Betsy, Jackie.
Trop dommage si j’ai oublié quelqu’un.
Tellement de baisers, tellement de tripotages.
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Appuyée contre Tawnee, Lauren faisait face aux invitées qui étaient rassemblées en file indienne. La limousine avait dû faire un long détour car bon nombre d’entre elles étaient encore dans l’église lorsque les deux jeunes femmes s’étaient éclipsées. Elle essayait de cacher le mouchoir souillé, mais n’avait rien trouvé pour s’en débarrasser. Elle sentait le jus qui coulait de son sexe et se demandait si quelqu’un s’en était rendu compte. Etait-il teinté de son sang ou transparent comme l’éjaculation de Tawnee ?
Elle baissa les yeux et jeta un coup d’œil furtif mais ne put rien voir. Pourtant, Tawnee avait eu une éjaculation tellement abondante… En plus elle sentait une démangeaison légère progresser vers le bas à l’intérieur de ses cuisses. Elle avait désespérément besoin de quelques minutes pour remettre de l’ordre dans sa tenue. Rassemblant toutes ses forces, elle tenta de contracter ses muscles intimes pour ralentir l’écœurant suintement, mais la sensation perdura.
En désespoir de cause, elle se retourna vers Tawnee pour lui dire qu’elle devait absolument se rendre aux toilettes mais au même moment, les invitées s’avancèrent vers elles. Une femme qu’elle n’avait jamais vue devança tout le monde et serra la main de Tawnee en lui demandant.
— J’espère que tu m’autorises à embrasser la mariée ?
— Evidemment tante Marge !
N’accordant que peu d’intérêt à cet échange de paroles, Lauren se retourna vers la femme. Aussitôt, celle-ci l’enlaça étroitement et l’embrassa goulument, forçant sa bouche à l’aide de sa langue. Le baiser dura de longues secondes, pendant lesquelles, totalement prise au dépourvu, Lauren n’esquissa pas un geste de défense et se laissa faire, les bras pendant le long du corps, les yeux écarquillés par la surprise.
Son émotion fut telle qu’elle ressentit comme une secousse électrique au fond de son ventre, ce qui augmenta l’écoulement entre ses cuisses. Les gouttes progressaient toujours plus bas et elle pouvaient les sentir jusqu’à ses genoux.
À peine la première femme l’eut-elle abandonnée qu’une seconde femme s’approcha et l’attrapa à son tour pour planter un baiser passionné sur ses lèvres. La troisième profita de cette étreinte pour s’emparer d’un de ses seins qu’elle flatta tout en l’embrassant. La suivante glissa une main adroite sous l’ourlet de sa robe.
Lorsqu’enfin, Lauren eut un bref moment de répit, elle n’eut que le temps de constater que la file se prolongeait le long du chemin, jusqu’au coin de la maison derrière lequel elle disparaissait. Elle n’avait même pas pu en apercevoir la fin. Une autre femme venait de l’enlacer et plantait un autre baiser sur ses lèvres. À peine eut-elle le temps de reprendre sa respiration, qu’une autre avait glissé sa main dans le décolleté de son dos et avait empaumé ses fesses nues pour l’attirer et l’embrasser à son tour.
Une autre lui pinça un téton durant tout le baiser, puis on lui palpa les deux seins…
Et la scène se répéta, répéta, indéfiniment. Elle fut d’abord embrassée par une vingtaine de femmes, puis le nombre dépassa la trentaine. Elle commença à se comporter comme un robot. Être embrassée de façon aussi indécente par un aussi grand nombre d’inconnues commença à lui faire de l’effet. Elle se mit à gémire au fur et à mesure qu’on la tripotait, qu’on la pinçait, qu’on l’embrassait. Ses tétons, durcis depuis longtemps, virèrent au rouge.
Elle sentait ses propres sécretions se méler à la semence de sa "femme", son sexe s’humidifiait de plus en plus sous le tissu fin de sa robe.
C’est alors que la femme dont ce fut le tour leur adressa la parole :
— J’espère qu’Allie à été bien obéissante. C’est la moindre des choses au vu de la somme généreuse qu’Alex m’a offert pour ses services.
— Absolument, d’autant plus qu’elle a été une pièce maîtresse pendant tout le mariage.
Répondit Tawnne en faisant un clin d’œil complice à Nicole.
— C’était un merveilleux mariage. Je suis sûre que la nouvelle Mme Cantrell fera une excellente épouse, et bien sûr je me ferai un plaisir de l’embrasser à mon tour.
— Assurément, chère amie.
Sans aucun ménagement, Nicole agrippa Lauren par la nuque et la força à lui offrir ses lèvres. Résignée, la jeune fille se soumit à l’odieux baiser. Que pouvait-elle faire d’autre ?
Il fallut plus de 45 minutes pour que toutes les invitées défilent devant les mariées. Cela faisait longtemps que Lauren avait perdu le compte des baisers qu’elle avait du recevoir ou donner.
Enfin, Susan s’approcha et chuchotta dans l’oreille de Tawnee.
— Je suis désolée de vous importuner Madame Cantrell, mais le programme nécessite que vous et votre épouse vous rendiez au prochain point des réjouissances. Il fallut une seconde ou deux à Tawnee pour réaliser que c’était à elle que Susan parlait. Maintenant qu’elle était mariée, elle était Madame Cantrell.
— Ah oui, Susan, merci.
Elle attrapa la main de Lauren et l’entraîna, à sa suite, jusqu’à l’intérieur de la maison, pendant que les invitées en faisaient le tour pour rejoindre la terrasse où la réception devait se poursuivre.
— Attends ! Où allons nous ? Demanda Lauren nerveusement.
Les émotions l’empêchaient de raisonner correctement. Ce matin, sa belle-mère s’était servie de sa bouche, Allie avait été transformée en ôtage, puis elle s’était mariée et avaité été pratiquement violée par sa nouvelle "femme" et enfin, toutes les invitées s’étaient succédées pour se servir d’elle comme si elle n’avait été qu’une vulgaire fille de joie à qui on pouvait faire subir tout ce qu’on souhaitait. Il ne lui restait presque plus rien, et ses yeux humides de larmes la faisaient trébucher en suivant Tawnee.
— Ne t’inquiète pas ma chérie, ce n’est qu’une autre formalité.
****
— Aurora, l’opération est lancée. Est-ce que l’équipe est prête ? Demanda Isis.
Aurora et elle circulaient dans le jardin, impeccablement vêtues et, apparemment, parfaitement à leur aise.
— Oui Madame, tout le champagne est drogué. Nous devrions pouvoir agir peu de temps après le toast. Ça ne devrait plus tarder, comme la mission à florence que nous avons menée l’année dernière.
— Bien, mais ne sois pas trop confiante Aurora. Répondit Isis. J’ai formé des dizaines de recrues qui semblaient toutes aussi fortes les unes que les autres, mais, au moment le plus important, j’en ai aussi vu beaucoup flancher et craquer.
— Oui Madame, mais tout le monde s’est préparé à toute éventualité et le plan que vous avez imaginé est sans faille. Répondit Aurora en jetant un coup d’œil sur l’arme à feu speciale qu’elle portait sous sa veste.
— Soyez prudentes… Isis regarda autour d’elle. Pas de confiance excessive, souvenez-vous qu’il y a ici des femmes coriaces, endurcies et puissantes.
— Bien M’dame.
Et elles continuèrent à circuler nonchalament dans le jardin. Isis s’inquiétait à propos d’Allie. Jusqu’à présent, elle ne l’avait pas encore vue à la réception.
****
Tawnee attira Lauren jusque dans la maison des Jacobs et la finit pénétrer dans le grand salon. Les meubles y avaient été déplacés. Les chaises avaient été alignées sur deux rangées qui formaient un rectangle tout autour de la pièce. Les invitées qui y étaient assises avaient une vue parfaite sur ce qui se déroulerait au centre de la pièce.
Lauren sentit son sang se glacer dans ses veines. Au milieu du salon, un grand lit avait été disposé, à la vue de tout le monde. A son pied, incongru, un grand bureau et deux chaises avaient été installés.
Elle secoua la tête pour s’éclaircir les idées et commença à se débattre, cherchant à échapper à la poigne de fer de Tawnee.
— Non, non, NON, NON, NON, NON, Bordel NON !
Susan se débarrassa du dossier qu’elle tenait et aida Tawnee à traîner son épouse rebelle jusqu’au lit.
— NOON ! NON PAS CA !! NOOOOOOOON !!!
Alors qu’elles se faufilaient à travers les spectatrices, Lauren put voir le lit en détail. Il était surplombé par trois caméras. Bon sang ! Ces malades allaient TOUT FILMER !
Les 50 ou 60 invitées qui patientaient applaudirent chaleureusement l’arrivée de la fiancée. Plusieurs femmes prirent le relai et Tawnee put prendre quelques pas de recul. De force, Lauren fut étendue sur le lit, maintenue tant bien que mal par les autres femmes. Tawnee se pencha sur elle et lui glissa méchament dans l’oreille.
— Maintenant, tu vas voir ce que c’est qu’un vrai dépucelage.
Lauren n’eut de cesse de se débattre. Elle cria et jura en se cabrant entre les mains de ses persécutrices, avec pour seul effet l’intervention de deux autres invitées. Bientôt, il n’y eut pas moins de 9 femmes pour la maintenir en place.
Pour commencer, on lui passa autour du cou un collie en cuir qui fut attaché à un anneau fixé sur la tête de lit. Elle ne pouvait plus soulever sa tête que quelques centimètres au-dessus du matelas. Puis, on étira douloureusement ses poignets jusqu’aux coins supérieurs du lit auxquels ils furent liés par une paire de bracelets attachés par des chaînes. Ses bras étaient distendus au maximum de ce que permettaient ses muscles.
Enfin, on attacha ses chevilles à une barre métallique d’environ 1m20, qui fut ensuite fixée au milieu du lit, en hauteur, soulevant ses fesses et exposant son intimité à la vue de toute l’assemblée.
Lorsque la mariée fut prête pour la consommation officielle de son hymen, les invitées retournèrent à leur place. Lauren se débattit encore quelques minutes avant de s’avouer vaincue et de s’abandonner en pleurant.
Au pied du lit, jouissant d’une vue imprenable sur les parties intimes de leur belle-fille, Alex et Elizabeth venaient de s’asseoir derrière le bureau. À côté de chacune d’entre elles était assise une jeune femme en tenue d’huissiers. Sur le bureau, des liasses de papiers n’attendaient plus que leurs signatures.
Susan s’approcha du lit et souleva délicatement la robe de Lauren afin que rien ne puisse obstruer leur champ de vision. Le silence se fit lorsque les spectatrices découvrirent le sexe imberbe de la jeune mariée pour la première fois. Les souillures qui maculaient l’entrecuisse de Lauren avaient commencé à sécher tandis que de nouvelles commençaient à émerger de la vulve luisante. Un murmure de surprise parcourut l’assemblée et certains cris de surprise et d’indignation fusèrent lorsqu’elles constatèrent que la mariée n’était plus vierge.
Le murmure se calma ne laissant subsiter que les sanglots de Lauren, entrecoupés par la voix courroucée d’Elizabeth. Furieuse, elle s’était levée d’un bond.
— TAWNEE !!! Mais qu’as-tu donc fait ? Elle contourna brusquement le lit et giffla brutalement la jeune mariée, l’assommant presque. Tu connaissais tous les détails de la cérémonie et tu l’as quand même déflorée ?
La jeune femme fixa sa mère, les yeux pleins de haine.
Devant la tournure des évènements, Alex se leva à son tour et déclara :
— Elizabeth, nous pouvons encore continuer la cérémonie, nous avons deux juristes et si Tawnee prête serment devant elles, nos deux amies pourront notifier et certifier qu’elle n’a pris la virginité de Lauren qu’après la cérémonie. Ainsi, toutes ces complications seront réglées et il n’y aura plus de problème. Évidemment, il faudra qu’elle poursuive la cérémonie du dépucelage devant nos invitées, mais je pense que personne ne le regrettera.
Elizabeth se calma un peu et les trois femmes se penchèrent sur le bureau pour remplir et signer les papiers que leur présentaient les légistes.
Rapidement, l’affaire fut entendue. Lauren avait été vendue pour 187 millions d’Euros de participations dans le groupe Cantrell. Alex Jacobs possedait maintenant 28 pourcents des fonds internationaux d’investissement des Cantrells. Désormais, les deux familles étaient liées financièrement et familialement.
— Bien. Déclara Elizabeth. Susan avez-vous un autre flacon de semence. Il semblerait que ma fille ait eu une éjaculaton précoce ?
La remarque d’Elizabeth fit s’esclaffer l’assemblée. Excepté bien sûr, Lauren qui sanglotait désespérément sur le lit, magistralement ignorée par les principales protagonistes de la transaction.
Susan s’absenta un moment et revint rapidement en tenant une petite fiole qu’elle tendit à Elizabeth.
Celle-ci s’en empara et la brandit devant les spectatrices.
— Ces deux gamines impatientes ont consommé leur union à la fois comme un symbole et comme une pulsion irrépréssible. Pourtant, nous sommes toutes réunies dans cette pièce pour certifier que cet acte s’est bien déroulé selon nos rites immémoriaux. Ce soir, vous allez donc assister à la façon dont ma fille, Tawnee Cantrell, a défloré son épouse, évidemment, nous n’aurons qu’à imaginer cet instant. Alors que la cérémonie commence !
Un tonnerre d’applaudissement salua son discours tandis qu’elle tendait la fiole à sa fille. La jeune fille s’en empara et s’en servit pour recharger le récipient qu’elle gardait dans sa poche, avec une agilité surprenante. Sitôt fait, elle s’empressa d’exhiber le sexe factice de son pantalon, et fit le tour de l’assemblée, paradant, exhibant le plastique souillé par les traces de sang.
— Faites venir la pute. Je veux que le sexe de cette vicieuse soit impeccable avant que ma fille ne le prenne à nouveau !
Aussitôt, Miranda et Coquette s’éclipsèrent. Il ne fallut pas plus d’une minute avant qu’elles reviennent en remorquant Allie derrière elles. À croire que toute cette scène n’avait rien d’une improvisation. Elles maintenaient solidement l’adolescente par les épaules pour l’aider à se déplacer car ses pieds et ses mains étaient liés. Elles lui firent prendre place sur le lit, le visage à quelques centimètres du sexe souillé de la mariée.
— Nettoie-moi ça correctement, petite salope. Nettoie-le pour sa femme. Je le veux aussi propre qu’un sou neuf pour le sexe de ma fille.
Choquée, Allie se refusait à participer à cette parodie de cérémonie, le sexe de sa bien aimée était sale et elle se sentait un peu écœurée. Elle s’assit sur les talons et refusa de la tête.
Le regard d’Elizabeth survola les invitées et se fixa sur Nicole.
— Nicole, on dirait que votre petite chienne se rebelle. Voulez-vous la fouetter ou dois-je m’en charger ?
Nicole se redressa et, d’un air détaché, s’approcha du pied du lit.
— Hmm, je serai enchantée de participer aux festivités. Si vous permettez…
— Mais bien sûr ma chère, je vous en prie.
Susan lui tendit une longue cravache et fit quelques pas en arrière. Nicole en éprouva la fexibilité et se tourna vers Allie.
— Ecoute-moi bien, petite salope, tu sais à quel point j’ai horreur de la contradiction. Alors tu choisis : Soit tu continues à me faire honte devant tout le monde, soit tu fais immédiatement ce qu’on t’ordonne.
TCHHAAC !
Sans attendre la réponse de l’adolescente, elle avait fait siffler l’instrument et l’avait abattu énergiquement sur Allie. Une marque rouge apparut aussitôt en travers de son dos, se prolongeant sur le haut de ses bras. La paire de menottes et la couroie passée autour de sa taille emprisonnaient ses poignets dans son dos, la privant de toute protection.
— AAAIE !!!
Allie poussa un hurlement de douleur et se tordit dans ses liens, mais ne changea pas de position et refusa à nouveau d’obéir.
Nicole adressa un sourire aux spectatrices qui, visiblement, appréciaient la tournure que prennaient les évènements.
— Allie, voyons Allie, tu sais pourtant que je peux te corriger plus longtemps et plus fort que tu ne peux le supporter. Je te promets que si tu t’entêtes, la correction que je te donnerai ce soir te passera l’idée de recommencer. Après cette punition, je suis sûre que tu n’auras plus jamais besoin de leçons d’obéissance.
Presque simultanément, deux nouvelles marques zébrèrent le dos de l’adolescente.
— OOOUUUUAAAAIE !!!
— Maintenant, ma chérie, tu vas montrer ta jolie petite langue de pute à tout le monde et t’en servir pour nettoyer le sexe de cette adorable jeune mariée. Tu ne voudrais pas que je me fâche pour de bon n’est-ce-pas ?
Les yeux noyés de larmes, la jeune fille sortit sa langue, jeta un coup d’œil craintif vers sa Maîtresse, et s’inclina sur l’entrejambe de Lauren. Elle ne put retenir une grimace et un petit gémissement, le sperme mélé au sang séché avait un goût différent de celui auquel elle était habituée. Matée, elle s’attela à faire disparaître ces traces qui la répugnaient, s’efforçant de contenir un haut-le-cœur.
— Met-y plus d’enthousiasme.
CLAC
— MMMMAAAAIE !!!
******
Isis et Aurora se tenaient sur la terrasse avec les invitées qui n’étaient pas suffisamment notoires pour avoir la chance d’être conviées à séance privée qui se tenait à l’intérieur. Elles devaient se contenter des écrans géants répartis çà et là pour retransmettre la scène.
En contrepartie, la vidéo haute qualité et nombre leur révelait nombre de détails.
De ce fait, Isis avait cessé de rechercher Allie. L’adolescente apparaissait en gros plan sur l’écran. Sa langue avait presque terminé de faire disparaître les sécretions qui souillaient le sexe imberbe de la mariée.
Tous les regards étaient fixés, comme hypnotisés, sur les écrans qui montraient dans les moindres détails la langue d’Allie, fichée entre les lèvres intimes de Lauren. Ses lèvres, ventousées contre la vulve glabre, qui aspiraient et suçaient et même, lorsqu’elle prit un peu de recul pour prendre son souffle, le petit filet de salive qui s’étira entre elles.
Des dizaines et des dizaines d’invitées rassemblées à l’extérieur, faisaient connaissance, buvaient et discutaient à voix basse, commentant la scène folle qui se déroulait sous leurs yeux. A l’évidence, il s’agissait d’une réception de haut standing.
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Lorsqu’enfin elle fut satisfaite de son travail, Elizabeth tira Allie par les cheveux pour l’éloigner du sexe de sa belle-fille. L’intimité de Lauren était entièrement nettoyée. On pouvait la voir luire et papiter.
— Merci Nicole, nous en avons terminé avec cette pute, tu peux la remettre à sa place.
Déclara Alex en repoussant négligemment Allie à qui le mouvement fit perdre son équilibre. Incapable de se retenir, celle-ci chuta lourdement sur le sol.
La place étant libre, Tawnee monta sur le lit et s’agenouilla entre les jambes de son épouse. Lauren sentit plus qu’elle ne vit le godemiché appuyer contre l’entrée de sa vulve. Elle tenta de se dérober, cherchant à échapper à l’inévitable, mais Tawnee attrapa l’attrapa fermement par les cuisses et, faisant usage de sa force, eut tôt-fait de prendre la position idéale.
Désespérée, Lauren tourna la tête autant que lui permettai son collier et aperçut Allie étendue par terre. Leurs yeux se rencontrèrent et, soudain, Lauren se calma. Les lèvres d’Allie lui envoyaient un message silencieux qu’elle capta aussitôt : Je t’aime. Allie était près d’elle. Plus rien ne pouvait lui arriver. Elle laissa son esprit s’échapper de son corps et s’abandonna au bonheur qui se répandait dans ses veines, tel de la lave en fusion.
À son tour, elle mima les mêmes mots d’amour silencieux.
Tawnee était prête.
— Du premier coup, cette fois. Dit-elle avant d’empaler son épouse d’un seul coup de rein.
Le membre s’était enfoncé sur toute sa longeur, arrachant un cri de peur à Lauren. Pourtant la douleur qu’elle redoutait ne se produisit pas. La langue d’Allie avair fait merveille, la préparant bien mieux que n’importe quel lubrifiant. Elle ferma les yeux et se récita pour elle-même : J’aime Allie, j’aime Allie, j’aime Allie…
Les spectatrices applaudirent et nombre de « Vive les mariées ! » retentirent.
Tawnee ressortit presque l’intégralité de son membre, n’en conservant que la tête à l’intérieur, puis se renfonça intégralement dans le sexe de sa femme.
À l’extérieur, les écrans diffusaient les images en gros plan du godemiché, resté immobile, enfoncé jusqu’à la garde dans la vulve de Lauren. Après quelques instants, le membre se mit à aller-et-venir lentement.
Lauren récitait maintenant au rythme des secousses : Allie… Allie… Allie… Celle-ci lisait sur les lèvres de sa bien aimée et se mit à pleurer devant la tragédie qui les réunissait. Comment ces femmes pouvaient-elles être si cruelles.
Tawnee accéléra sa cadence. Le rituel semblait irréel. Ses mouvements ressemblaient à ceux d’une machine. Les femmes qui assistaient à la scène se faisaient resservir des consommations. Alex et Elizabeth finalisaient leurs accords. Allie était étendue par terre, au pied du lit qui lui faisait penser à l’autel d’un sacrifice. Nicole se régalait de chaque instant. Même Maîtresse Jytte, quelques chaises plus loin, montrait un intérêt qui tranchait avec son dédain habituel, laissant même échapper quelques sourires par moments.
Toutes attendaient le moment crucial : Le final. Elles se mirent à scander en rythme avec Tawnee :
— TAW-NEE… TAW-NEE… TAW-NEE !
Les passions s’enflammèrent. Toutes sentaient la consécration approcher.
— TAW-NEE !
Allie…
Tawnee s’empara de la poire remplie de sperme et la brandit de façon à ce que tout le monde puisse la voir.
— TAW-NEE ! TAW-NEE ! TAW-NEE !!!
Les coups de reins s’enchaînaient augmentant leur rythme au fur et à mesure que les invitées scandaient le prénom de la mariée de plus en plus rapidement.
Elizabeth leva les bras, réclamant un peu de calme.
Les spectatrices redevinrent silencieuses. Même celles qui se trouvaient à l’extérieur, devant les télévisions, cessèrent leurs conversations. Servantes et serveuses s’immobilisèrent. Toutes attendirent l’acte final, que ce soit en vision directe ou en haute définition.
Allie. Lauren déclama une dernière fois le prénom de sa bien aimée, alors que Tawnee s’immobilisait au fond de son vagin et pressait la poire, envoyant sa semence au fond de l’utérus de sa "femme".
Un tonnerre d’applaudissement salua sa performance. Un petit orchestre entonna les notes d’une musique de chambre et les invitées reprirent leurs conversations là ou elles l’avaient laissée.
Seules, Allie et Lauren pleuraient tandis que Tawnee pressait et pressait la poire jusqu’à ce qu’elle soit entièrement vide. Puis elle reprit sauvagement ses mouvement de piston pendant quelques minutes avant de se retirer définitivement.
Elle se remit alors sur pieds et se dirigea vers Allie qu’elle força à s’agenouiller devant elle. L’adolescente comprit aussitôt où elle voulait en venir et se mit à lécher le godemiché luisant des sécretions des deux femmes avant même qu’on le lui ait ordonné.
Sur un geste d’Elisabeth, les invitées se levèrent et chacune d’entre elles vint, tour à tour féliciter Tawnee. Certaines consacrèrent quelques instants à échanger quelques mots avec elle, ignorant l’adolescente agenouillée à côté d’elles qui léchait le membre factice, faisant disparaître toutes les traces qui le souillaient. Tout en distribuant poignées de mains et baisers, Tawnee repoussa nonchalament Allie qui bascula une nouvelle fois sur le flanc, nue et abandonnée aux pieds des femmes qui discutaient avec la mariée.
Lauren fut détachée et remise sur pied. Ses yeux étaient rougis par les larmes.
Tawnee interpela Coquette et Miranda :
— Refaites-lui rapidement une beauté, nous sommes attendues sur la terrasse pour le reste des festivités.
Les deux soubrettes s’exécutèrent et guidèrent Lauren jusqu’à une salle de bain pour la remaquiller et défroisser sa robe afin de lui redonner, autant que possible, l’apparence d’une jeune mariée.
Nicole aida Allie à se redresser et la détacha. Puis, telle une reine de la Rome antique accompagnée de son esclave nue, elle l’entraîna hors de la maison. Complètement annéantie, l’adolescente la suivit, incapable de coordonner ses idées.
C’est en arrivant sur la terrasse que la jeune fille aperçut Isis. Une décharge d’adrénaline la survolta alors que l’espoir renaissait dans son esprit. Isis posa un doigt sur ses lèvres. Allie acquiesca d’un mouvement de tête discret et suivit sa Maîtresse. Personne ne se formalisa de sa nudité, il y a quelques autres filles peu vêtues ou entièrement dévêtues qui participaient à la réception.
Après quelques minutes, les mariées apparurent à leur tour. Lauren semblait toujours complètement choquée, alors que Tawnee était aux anges et souriait à toutes celles dont elle croisait le regard.
La réception se poursuivit, toujours aussi caricaturale. On dansa, le gâteau de mariage fut servi et il y eut même un lancé de bouquets de fleurs. Bientôt, toutes les invitées se retrouvèrent assises autour des tables et l’on servit le champagne en prévision du toast.
Les mariées prirent place à la table principale et Alex se leva en brandissant son verre.
— Je voudrais vous remercier de vous être données la peine d’assister à ce moment formidable réception. Elle attendit que les applaudissements se calment. En tant que mère de la mariée, je dois vous avouer que l’on ne peut pas profiter pleinement la vie tant que l’on n’a pas profité d’une fille aussi délicieuse que la mienne.
Un tonnerre d’éclats de rires salua son jeu de mot. Elle attendit que l’ambiance retombe.
— Je lève mon verre à toutes les promesses que ma fille ne manquera pas de…
— AAIE !!!
Le cri de Lauren la coupa brusquement.
— Ôte tes sales pattes de moi, espèce de SALE PUTE !!! Et dans le même temps, Lauren décrocha un coup de poing au visage de Tawnee.