suivant
Allie et Nicole (22)
précédant

Adaptation française par Perverpeper le 05/07/10

 

 

F/f F+/f F+/f+ exhibition ados uro BDSM esclave lycée humiliation réticence.

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Annie the slick" que j’ai trouvé sur le site "BdsmLibrary" : (http://www.bdsmlibrary.com/stories/author.php?authorid=292)
Elle y a publié deux autres textes : "Modern Maid" et "L.E.Z. – The Lesbian Sorority".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans l’autorisation formelle de l’auteur.
Si cette adaptation vous intéresse et que vous souhaitez lire les autres histoires d’Annie en français, veuillez me contacter à l’adresse suivante : perverpeper@ifrance.com (ou bien sur mon site : http://www.perverpeper.com).

Dans l’attente de vos réactions et commentaires…

PP

 

Synopsis : Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par sa baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. La pauvre Allie sera humiliée, forcée à satisfaire sa nouvelle maîtresse de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.

 

Chapitre 22b : Le marriage.
------------------------------------------------------------------
------------------------------------------------------------------
Avec :
Les reines de l’apnée : Allie, Lauren, Alex, Coquette, Miranda, Suzan, Nicole, Isis, Tawnee, Elizabeth, Aurora.
Trop dommage si j’ai oublié quelqu’un.
Le grand jour. Noces, pain et pitance. Quelle journée.
------------------------------------------------------------------
------------------------------------------------------------------

L’église était pleine de monde.

Les invitées formèrent une sorte de haie d’honneur lorsque les deux familles arrivèrent. Caricature d’un jeune marié, Tawnee fut la première à entrer. Elle était resplendissante dans un smoking noir, parfaitement taillé, dont la coupe épousait flatteusement ses formes. Un magnifique collier de perles noires completait la mise, remplaçant avantageusement le trop conventionnel "nœud papillon".
Peu à peu, le brouhaha s’estompa et l’orgue entonna un hymne. Toutes les têtes se tournèrent et la mariée fit son apparition.
Le silence se fit total et l’on aurait presque pu entendre les respirations se suspendre lorsque Lauren fit son entrée. Une immense sensation de puissance l’envahit en remarquant les regards envieux qui la dévisageaient. Aucune d’entre elles n’approchaient de près ou de loin sa beauté sculpturale.
Elle resta immobile un moment profitant de cette sensation nouvelle, de la magie de cet instant.
Puis elle s’avança, majestueuse, en direction de sa "future femme". Son cœur était en morceaux. Allie et elle étaient prisonnières de sa diabolique belle-mère et elle ne voyait aucune solution pour échapper à ce piège odieux.
Alors qu’elle progressait le long d’allée jonchée de pétales, l’image qu’elle renvoyait aux invitées passa de l’admiration à la convoitise. Tout le monde savait le vice et la perversion qui se dissimulaient, derrière cette mise en scène grandiose.
Les regards lubriques perforèrent son âme aussi efficacement que des couteaux aiguisés.
Dans un état-second, elle continua à progresser au rythme des notes nuptiales qui résonnaient dans l’église. Tel un zombie, elle se concentra sur ses pas, veillant à ne pas trébucher sur ses hauts talons. Elle se força à avancer au travers de toute cette hypocrisie, espérant malgré tout que cette mascarade aurait une fin heureuse.
Alors qu’elle approchait de la chaire, Alex se leva et s’empara de sa main. Au même moment, la musique s’interrompit et celle-ci en profita pour lui glisser à l’oreille :

— Souviens-toi d’Allie.

Le ton glacial, lourd de promesses, fit frissonner Lauren.
Le prêtre, une femme, s’avança.

— Qui mène cette jeune fille à l’autel? Demanda-t-elle.

— Moi. Répondit Alex d’une voix redevenue chaleureuse.

Et, d’autorité, elle plaça la main de la mariée dans celle de Tawnee avant de s’asseoir.
De plus en plus atterrée, Lauren se laissa guider et escalada les quelques marches qui lui permettraient de se tenir auprès de Tawnee pour cette cérémonie excécrable. Un murmure courut dans l’assemblée. Un rayon de soleil avait percé les vitraux, révelant l’indécence de sa robe dont la transparence était apparue aux yeux de tout le monde. Pour les invitées se tenant aux premiers rangs, son corps appraissait dans toute sa nudité.
Les courbes magnifiques de son corps, ses petits seins dont les tétons pointaient outrageusement, ses jambes admirablement galbées et les fossettes adorables de ses petites fesses n’avaient plus de secret pour personne. Certaines d’entre elles, aux extrémités de la nef, eurent même une vision fugitive de son pubis glâbre.
Le seul morceau de tissu qui ne s’effaça pas complètement dans la clarté fut son voile. Tawnee, dans son smoking coupé à la perfection, allait épouser une jeune femme quasiment nue. Nombre des invitées ressentirent une humidité caractéristique éclore entre leurs jambes et les imaginations s’échauffèrent.
Enfin, le silence retomba, uniquement troublé par les cliquettements du photographe.
Et la cérémonie se déroula de façon aussi conventionnelle que tous les mariages. Lectures et discours se succedèrent au cours d’un service en tout point identique à celui que la morale chrétienne préconnisait. Durant toute la cérémonie, Lauren se tint aux côtés de Tawnee, inconsciente de sa nudité à peine voilée. Elle participa tant bien que mal, ne cessant de penser à Allie.
Enfin, la religieuse murmura :

— Il est temps d’échanger les bagues.

Tawnee sortit une petite boîte de sa poche. Elle l’ouvrit et en tendit une à Lauren. Elles étaient identiques : Un énorme diamant au centre et plusieurs petits répartis tout autour. Incapable de réprimer un sourire de triomphe, Tawnee tendit son doigt. Lauren tremblait tellement que la religieuse dut l’aider à passer la bague autour de l’annulaire offert.

— Lauren, répétez après moi s’il vous plaît. Moi, Lauren Jacobs…

— M… Moi Lauren Jacobs… Bredouilla-t-elle en reprenant les paroles de la religieuse.

— Déclare prendre pour épouse Tawnee Cantrell…

— Dé… Déclare prendre pour é… épouse… Tawnee… Cantrell.

Elle la regarda à travers son voile. Tout cela ne pouvait être qu’un rêve, un cauchemar. Les paroles de la religieuse lui parvenaient à travers un brouillard qui semblait s’épaissir.

— Tout ce que je suis et tout ce que j’ai t’appartiens… Tout !?

— À compter d’aujourd’hui, je t… t’appartiendrai et te serai ent… entièrement dévouée, je t… te chérirai entre t… toutes et te resterai fidèle pour le m… meilleur et pour le p… pire. Pour le meilleur et pour le pire ?!

La religieuse sourit et se tourna vers Tawnee. A son tour, celle-ci passa sa bague autour de l’annulaire de Lauren.

— Tawnee, à votre tour de répeter après moi.

— Moi, Tawnee Cantrell, déclare prendre Lauren Jacobs pour épouse. Son sourire s’était transformé en une grimace de satisfaction diabolique.

— À compter d’aujourd’hui, j’accepte ton obeissance, ta dévotion, ta soumission et ta fidelité. Lauren eut l’impression que son cœur allait s’arrêter. Je promets de te guider et de diriger ta vie pour le meilleur et pour le pire.

— Au nom du seigneur et avec tout le pouvoir dont m’a investie le grand état de New-york, je vous déclare épouse et femme ! Annonça triomphalement la prétresse.

— Vous pouvez vous embrasser.

Tawnee l’enlaça fermement et l’embrassa langoureusement. Puis elle la fit tourner sur elle-même, face à l’audience. Les "vivas" et les applaudissements fusèrent tandis que la main de Tawnee glissait contre le bas de la robe de Lauren.

— J’ai le plaisir de vous présenter à tous et pour la première fois, Mesdames Tawnee Cantrell !!!

Sur ces mots, Tawnee entraîna son épouse à travers l’allée centrale et toutes deux sortirent de l’église.

****

Les portes de la limousine se refermèrent et la grosse voiture s’éloigna tandis que le bras de Tawnee s’agitait par la fenêtre. Quelques secondes plus tard, elle se jeta sur sa jeune épouse. Celle-ci se débattit avec l’énergie du désespoir. Elle connaissait l’enjeu de ce combat : Sa virginité.
Lauren se réfugia au fond de son siège, mais Tawnee, qui l’avait attrapée par le poignet, la contraignit à se rapprocher et s’empara du bas de sa robe qu’elle remonta sans ménagement sur ses cuisses.

— Tawnee, je t’en supplie, est-ce qu’on ne peut pas en parler avant ?

— Bien sûr ma chérie, tu veux savoir comment je vais te baiser ? Demanda-t-elle avec un sourire vicieux en lui laissant un peu de répit.

Elle s’agenouilla devant la banquette et dégraffa la braguette de son pantalon de smoking pour en extraire un membre factice noir. Lauren regarda avec frayeur l’engin menaçant qui mesurait près de vingt centimètres de long et semblait impatient de pénétrer son sexe tendre.
Folle de terreur, Lauren remuait sa tête convulsivement de droite à gauche.

— Tu veux peut-être lui demander d’être charitable avec toi. Peut-être qu’en étant bien gentille, tu réussiras à l’amadouer, tu ne crois pas ?

Et elle éclata de rire avant de se jeter à nouveau sur Lauren, tentant de la clouer contre le dossier du fauteuil. La jeune fille se défendit avec toute son énergie mais elle se retrouva bientôt coincée entre le fauteuil et la porte, les jambes largement écartées de part et d’autre du corps de sa "femme". Elle tenta de la frapper mais l’autre n’eut qu’à forcer un peu pour lui immobiliser les poignets.
Au comble du désespoir, Lauren dut reconnaître une nouvelle fois sa défaite. Le gland du sexe en caoutchouc butait contre son pubis, cherchant l’entrée de son sexe sans défense. Les coups de reins de Tawnee se succédaient, envoyant la tête du godemiché entre les fesses, puis à l’entrée du vagin, mais chaque fois Lauren se cabrait, s’écartant de la menace autant que possible.
Elle lutta jusqu’à ce que, finalement, Tawnee trouve le moyen de la bloquer en maintenant ses poignets d’une main et écartelant ses cuisses à l’aide des siennes. De sa main libre, elle guida l’horrible objet à l’entrée de son sexe où elle l’immobilisa, menaçant.
Impuissante, Lauren cessa de lutter et regarda Tawnee dans les yeux.

— S’il te plait Tawnee, je t’en supplie, ne me fais pas mal !

Elle avait perdu tout espoir d’échapper à son destin et elle n’avait plus qu’une idée : Ne pas être maltraitée.

— Tu veux que je sois douce ? Je t’ai sodomisée au moins une douzaine de fois sans prendre aucune précaution et tu sais que je peux faire ce que je veux de toi. Pourquoi devrais-je être douce maintenant ?

— Parce que je serai une bonne épouse et que je te donnerai du plaisir en échange.

— Oh mais tu m’en donneras de toute façon, non ? Tawnee réfléchit un instant. Dans ce cas, prouve-le. Je veux que tu prennes ma bite entre tes mains et que tu la guides toi-même à l’intérieur de ton vagin.

Elle relâcha les poignets de sa victime, mais continua à s’appuyer contre ses cuisses.
Docilement, la jeune fille tendit ses mains et toucha le monstre qui patientait contre l’entrée de son sexe. Il semblait énorme. Elle baissa les yeux. Quelles sensations allait-elle ressentir à l’intérieur de son petit sexe ? Est-ce que ça serait les mêmes que dans son anus ? Il était si gros. L’apréhension lui fit mordre ses lèvres.

— Recule un peu s’il te plait. Demanda-t-elle finalement en attrapant l’engin entre ses doigts. Il à l’air tellement gros.

Tawnee relâcha quelque peu sa pression, dégageant un petit espace entre elles. Lauren avança légèrement son bassin et positionna le gland entre ses lèvres intimes.

— Vas-y doucement, je t’en supplie.

Tawnee se cambra un peu et la pointe du gadget s’écrasa légèrement contre les lèvres de son épouse.

— Vas-y tout doucement. Lauren ferma les yeux et renversa sa tête en arrière lorsque le godemiché de sa "femme" pénétra son vagin.

— Oooohhhh aaaahhh, oui attends… Oooohhhh doucement… aaahhh… ressort maintenant s’il te plaît.

Elle fit glisser ses mains contre le bas du dos de sa "femme" et tira sur la couroie qui ceignait sa taille pour la faire reculer. Mais à peine Tawnee s’était-elle retirée qu’elle avança à nouveau ses reins, enfonçant progressivement le godemiché sur près de trois centimètres.
Un nouvel aller-retour lui fit gagner quelques centimètres supplémentaires et Lauren sentit l’engin buter contre son hymen.

— Tu y est Tawnee… Lança-t-elle d’une voix précipitée. Je te sens contre mon hymen.

— Maintenant, je vais te dépuceler. Comme ça, tu seras définitivement à moi.

Et elle fit un nouvel aller-retour, appuyant plus fermement contre la fine membrane.
Lauren serra les dents et ferma les yeux. Tawnee accentua sa pression et le pucelage céda.

— AAAAAIE !!!

Le membre venait de passer la petite barrière et se frayait un chemin dans cette partie inviolée de son vagin.

— Aahhh oooohhhh, hhhmmmm !!!

Lauren n’avait pu retenir ses larmes. Tawnee s’était mise à la piloner lentement, augmentant progressivement la profondeur de ses coups de reins à chaque poussée, maintenant un rythme lent et doux jusqu’à ce que la douleur que ressentait Lauren s’évanouisse.

— Ca va mieux maintenant ?

— Un peu.

La jeune épouse commençait à apprécier les sensations qui fusaient au fond de son vagin, c’était complètement différent de ce qu’elle avait ressenti avec son anus jusqu’à maintenant. Pourtant, ça lui paraissait bizarre d’être pénétrée de ce côté après avoir eu les fesses forcées pendant des semaines. Elle avait tellement été habituée à être sodomisée que c’était une sensation tout à fait nouvelle ; elle s surprit même à penser qu’il n’était pas impossible qu’elle y prenne plus de plaisir.

— J’ai une surprise pour toi. Déclara sa "femme" en commençant à accélérer ses mouvements.

— Hmmmm !!! Ah bon ? Répondit Lauren en agrippant les fesses étroites de Tawnee à travers le pantalon de smoking.

— Je peux jouir avec cette bite, tu vas voir.

Elle s’immobilisa quelques instants et fouilla dans sa poche pour en extraire quelque chose. Son sexe était enfoui au plus profond du vagin de Lauren. Elle tendit la main. Ça ressemblait à une poire en plastique de la taille d’une balle de tennis.

— Tu vois ça ? C’est plein de foutre, si je le presse, ça sort de ma bite comme si c’était une vraie.

Elle replaça l’étrange objet dans sa poche et recommença à pistonner son épouse. Choquée, la jeune fille ne savait plus quoi penser.

— Mais ce n’est pas du vrai… Je veux dire… Ce n’est pas du vrai sperme. Demanda-t-elle en posant ses mains sur les épaules musclées de sa "femme".

— Exact Lauren. On peut se procurer facilement du faux sperme, mais j’ai trouvé quelque chose de mieux.

Lauren sentit son estomac se transformer en yoyo.

— Qu’est ce que c’est alors ?

— Eh bien, il se trouve que mon père avait fait un don de sperme avant de mourir. Je me le suis procuré et j’ai rempli la poire avec. Ce que je vais t’injecter lorsque je jouirai, c’est le sperme de mon père. Je vais te féconder avec une semence la plus proche possible de la mienne.

Les yeux de Lauren s’agrandirent comme des soucoupes. Elle n’en croyait pas ses oreilles

— Non Tawnee, tu ne peux pas faire ça ! Ça n’était pas prévu. Nous avions un marché !!!

— Comment ça ! Tu es ma femme. Je peux te baiser à chaque fois que je le désire. Et qu’est-ce que tu t’imagines que "consommer une union" veut dire ? Uniquement baiser avec un sexe factice ?

Et elle accéléra la cadence, défonçant un peu plus l’entrecuisse de son épouse.

— Consommer une union veut dire éjaculer, et pour être officiel, ça doit être REEL. J’ai bien l’intention de consommer notre union avant d’arriver à la réception. Je veux que tu garde mon éjaculation au fond de toi pendant toute la durée du dîner. Je veux que tu le sentes au fond de toi, que ça te rappelle constament que je suis ta femme, ta Maîtresse et aussi ton mari, oui, ton MARI. Tu m’appartiens et tu dois faire tout ce que je souhaite.

Ses coups de reins s’intensifièrent au point que Lauren heurtait brutalement le dossier à chaque aller-retour.
Les larmes coulaient de plus belle sur le beau visage de la jeune épouse. Tawnee avait laissé libre cours à toute la brutalité qui la caractérisait, et son pilonage menait Lauren à l’orgasme contre sa volonté. Elle tenta de combattre la vague de plaisir qui montait au fond de son ventre mais rien n’y fit et elle sentit son orgasme menacer d’éclater.
Alors Tawnee l’écrasa contre le dossier et s’immobilisa.

— Es-tu prête petite chienne ?

Elle la maintenait fermement et son sexe restait bloqué au fond de son vagin. Son pantalon de smoking noir était appuyé contre l’entrejambe dénudé de Lauren qui était relié au sien par le godemiché.

— Maintenant, je jouis.

Elle avait attrapé la poire en caoutchouc et, la tenant à quelques centimètres des yeux de son épouse, elle la pressa d’un seul geste.
Lauren sentit le sperme gicler au fond de son vagin.
Tawnee poussa un gémissement au moment où la semence de son père jaillit dans le ventre de sa victime. Au même moment, un mini-orgasme la traversa. L’idée de féconder Lauren ainsi avait suffit à la faire jouir.

Elle resta enfouie entre les cuisses de sa victime pendant qu’elle achevait de vider la poire. Incapable de se contenir, Lauren sentit son orgasme lui échapper au moment ou l’odieux liquide giclait au fond de son ventre. Malgré tous ses efforts pour se contenir, elle frissonna et laissa échapper un petit gémissement et attrapa les fesses de sa "femme" pour faire pénétrer le godemiché encore plus profondément.

— Hmmmm… Gémit Lauren dans une dernière tentative pour réfréner l’orgasme qui menaçait de la ravajer. MMMmmm… OOOOHHH ! AAAAHHHHHHH !!!

Elle tenta de mordre ses lèvres pour le contenir, mais c’était insuffisant. Le plaisir la submergea, achevant ainsi de consommer son union avec tawnee. Le jet de sperme qui résidait maintenant au fond de son vagin la fit jouir d’autant plus fort qu’il la dégoutait.
Tawnee s’appliqua à la repousser fermement au fond du siège. Son sexe, toujours enfoui, elle procédait par petits coups de reins, heurtant le fond du vagin par petites pressions successives, prolongeant et amplifiant l’orgasme de son épouse.

— Oui ma petite chienne, jouis bien. Tu as aimé que je te baise pendant qu’on se rendait à la réception.

Lauren jouissait toujours lorsque la limousine s’engageait sur le chemin qui menait à la maison. Tawnee appliqua quelques dernières secousses puissantes à son godemiché et se retira, abandonnant son épouse tremblante et choquée par son orgasme. Elle sortit un mouchoir blanc de son smoking et s’en servit pour nettoyer les traces de sperme et de sang qui souillaient son sexe factice. Puis elle le tendit à bout de bras, en présentant les traces à Lauren, et se rajusta. Elle referma sa braguette sur son sexe comme s’il faisait partie intégrale de son corps.

— Tu ferais bien de t’essuyer un peu avant qu’on soit arrivées.

Sans y réfléchir, Lauren saisit le mouchoir souillé que l’autre lui tendait. Elle restait étendue sur le siège, sans forces, les jambes grandes ouvertes et le sexe offert. Un mélange glaireux nettement teinté de rouge en coulait et se répandait tout doucement sur le cuir de la banquette. Encore groggy de l’orgasme dévastateur qu’elle venait d’éprouver, elle ne parvenait pas à réfréner les tremblements qui la parcouraient.

Elle avait perdu sa virginité. Tawnee avait fait d’elle une femme. Tawnee… Sa femme… sa Maîtresse… Son mari…

— Dépêche-toi de te couvrir, ma chère épouse. Nous sommes arrivées et je ne voudrais pas que tu me fasses honte.

La porte de la limousine s’ouvrit et Lauren s’empressa de rabattre sa robe sur ses cuisses pour masquer son impudeur.

Elle était à mi-chemin entre la voiture et le comité d’accueil lorsqu’elle réalisa qu’elle tenait encore le mouchoir souillé de sang et de sperme à la main.

perverpeper@perverpeper.com

 

RETOUR A L'INDEX