L.E.Z. – L’association d’étudiantes lesbiennes (1) |
Adaptation française par Perverpeper le 30/06/14
Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’une auteure dont le pseudonyme est "Annie the slick".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans autorisation formelle.
Malheureusement, ce récit est incomplet.
PP
Synopsis : Une aventure lesbienne de haute fantaisie. Venez rejoindre nos filles. Elles s’amusent beaucoup sexuellement et de toutes les façons possibles
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L.E.Z. L’association d’étudiantes lesbiennes.
Une aventure lesbienne de haute fantaisie - toute ressemblance avec la vie réelle est totalement accidentelle, et serait sympa et par sympa, je veux dire totalement adorable.
Avec : Les élèves de première année : Josie, Nina, Kirsten
Les sœurs : Isabelle, Terri, Stephanie, Monica, Gretchen et Charli
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Chapitre 1 : Semaine de rentrée.
C’était le premier jour de la rentrée, la Maison s’était entièrement entièrement rassemblée dans l’entrée pour fredonner la chanson de bienvenue aux nouvelles étudiantes. Les nouvelles avaient probablement entendu toutes sortes d’histoires à propos de Lambda Epsilon Zêta. Des histoires qu’on racontait sur les filles, qu’on chuchotait en prétendant qu’elles étaient surtout portées sur le sexe faible, mais ces commérages n’étaient pas entièrement vraies, loin de là.
Les sœurs sourirent aux quinze nouvelles filles lorsqu’elles approchèrent. À chacune d’entre elles fut attibuée une sœur à qui incombait la transmission des coutumes, mais aussi pour qu’elles puissent se renseigner sur ce que la Maison pouvait leur apporter.
Seul, un petit nombre d’entre elles aurait l’immense honneur de rejoindre la meilleure Maison du Campus : L.E.Z.
Lorsqu’une petite brune passa la porte, Terri donna un coup de coude discret dans les côtes d’Isabelle. Elles s’avancèrent et se présentèrent.
« Salut, je suis Terri. » Dit-elle en recoiffant l’une de ses mèches blondes. « Et voici Isabelle. » Isabelle sourit.
« Salut, moi c’est Josie, » Répondit la petite brune en se tournant vers elles. Les deux sœurs représentaient deux opposés : Terri était une blonde sublime, qui mesurait presque 1m80, avec un corps mince aux courbes splendides, tandis qu’Isabelle, avec son type Italien et ses longs cheveux noirs, n’était pas moins jolie.
« Sois la bienvenue à Lambda Epsilon Zêta. Je suis certaine que tu vas te plaire ici » Dit Isabelle en passant son bras autour de la jeune fille pour la guider vers le séjour. Elles échangèrent quelques banalités et découvrirent que Josie était une fille du coin. Elle souhaitait de tout son cœur devenir une Gamma Phi, mais elle avait entendu quelques informations intéressantes à propos de L.E.Z. et voulait en savoir un peu plus sur ce sujet.
« Bien, » Commença Terri. « Si tu veux en savoir plus sur nous, je propose que nous te fassions visiter la Maison »
« D’acc. » Répondit Josie en souriant.
Elles s’engagèrent dans les escaliers à la suite de Terri, tandis qu’Isabelle fermait la marche. La première pièce sur leur chemin fut la bibliothèque, puis elles visitèrent la chambre d’une troisième année et enfin le dortoir.
« Toutes les premières années dorment ici. » Lui apprit Isabelle. « Elles ont chacune un petit placard et une armoire dans l’une des chambres des étudiantes en fin de cycle, mais leurs lits sont ici. »
Josie pouvait voir une pièce remplie de lits avec quatre petites fenêtres hautes qui éclairaient assez peu. Il faisait plutôt sombre, même maintenant, au milieu de la journée.
« Tu verras que la plupart des Maisons sont organisées de la même façon. » Précisa Terri.
Elles se dirigèrent ensuite vers les sanitaires qui se trouvaient à l’étage supérieur. Là encore, il s’agissait d’une grande pièce qui contenait des douches communes et cinq petits cabinets de toilette. Josie découvrit qu’il y avait huit pommes de douches, fixées au plaffond et plusieurs chaises en plastique.
« Ça devient plutôt bondé ici, chaque matin, mais nous nous en moquons, n’est-ce pas Isa ? »
Josie surprit le regard qu’échangèrent les deux sœurs. Elle se demanda si les histoires qu’on racontait étaient vraies.
« Si tu es selectionnée pour cette Maison, tu verras comme c’est sympa de vivre ici. »
Josie sentit qu’Isabelle s’était rapprochée de son dos, presque à la toucher. Alors, Terri avança vers elle.
« On pourrait même te donner un petit avant-goût maintenant. »
Le cœur de Josie s’emballa. Elle sentit le corps d’Isabelle se presser contre son dos, tandis que Terri la fixait droit dans les yeux, s’avançant lentement jusqu’à n’être plus qu’à quelques centimètres d’elle. Embarrassée, elle baissa les yeux, incapable d’esquisser un autre mouvement.
Terri glissa ses doigts sous son menton et le souleva. Ses lèvres s’approchèrent doucement et se posèrent sur les siennes. Un bref petit baiser d’abord.
Les yeux de Josie s’ouvrirent en grand. Elle n’avait jamais été embrassée par une autre fille.
Pendant ce temps, Isabelle avait passé ses bras autour de sa taille, et elle sentit son souffle se perdre dans son cou. Un frisson la parcourut des pieds à la tête lorsque les lèvres de la brune se posèrent délicatement sur sa peau, juste en dessous de son oreille.
Reprenant ses esprits, Josie leva ses mains sur la poitrine de Terri et tenta faiblement de la repousser, mais les sensations qu’elle ressentait étaient si agréables qu’elle s’interrompit pour gémir, tandis que les lèvres de la blonde s’écrasaient sur les siennes.
Délicatement, Terri plaça ses mains derrière sa nuque et augmenta l’intensité de son baiser.
Isabelle s’affairait à sortir son tee-shirt de son pantalon.
Josie se défendit comme elle put, tentant d’empêcher la brune d’arriver à ses fins, mais elle était déjà perdue dans le baiser qu’elle échangeait avec la blonde. Comme indépendemment de sa volonté, ses bras semblèrent s’envoler autour de Terri, l’attirant contre son corps. Ça n’était pas la même chose que d’embrassere un garçon, Terri sentait très bon et ses lèvres avaient un goût excellent ; ses baisers étaient plus doux. Josie gémit à nouveau lorsqu’elle sentit les mains d’Isabelle se mettre à errer sur son ventre.
Elles firent leur chemin jusqu’à la poitrine de l’adolescente et sa langue effleura son oreille.