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Dialogues des chieuses
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Chapitre 09 : Dialogues des chieuses

 

 

I Sur l'oreiller :

« Ma chérie, viens chier.
Pas sur le lit.
Si, sur le lit, sur mon oreiller, j’aime tant ta merde, je veux y poser ma joue, je veux dormir dedans.
Je chierai mou, je te préviens…
Tant mieux, j’en mettrai plein mes cheveux.
Je suis placée, comme ça ?
Penche davantage le corps, pour que je te voie faire ? Oh ! l’amour de trou du cul.
Lèche-le un peu…
Tiens… tiens… chie, maintenant…
Madame est servie.
Dieu ! y en a-t-il ! De quoi peindre tout le lit en brun, si on voulait…
Ça me fait jouir quand je chie, tu ne le croirais pas !
Viens voir un peu ce que tu as fait.
Manges-en un peu, pour voir si tu aimes…
Tiens, si je t’aime ! regarde, j’en ai plein la bouche.
Mets-en dans tes cheveux, comme tu avais dit.
Je m’y frotte, je m’y roule. J’en mets sous mes bras…
Oh ! comme tu pues, maintenant ! Comme je t’adore ! »

 

II Dans les mains :

« Entrez ! Bonjour, chérie.
Bonjour, mon cul aimé. Tu viens faire ta petite merde ?
Bien sûr. Tu n’as pas chié, j’espère ?
Non, mon loup, je t’ai attendue.
Comme sera-t-elle ?
Toute molle ? Et la tienne ?
Je compte sur un bel étron, ce matin.
Long comme une pine ?
Long comme une pine.
Baisse ton cul, fais-le dans ma main.
Je pousse. Le voilà, tu vois sa petite tête ?
Oui. Qu’il est beau ! et long ! et gras !
Tu l’as tout entier, mets-le sur l’assiette.
À mon tour, je ne peux plus me retenir.
Chie, mon loup, chie vite. Ah ! que c’est liquide ! Tout jaune avec de la boue brune comme du chocolat dans du jaune d’oeuf. Retiens-toi, chérie, j’en ai plein les mains, ça passe à travers mes doigts, j’en mettrais sur le tapis. »

 

III Sur le corps :

« Mets-toi à genoux et lève le cul, pour que je mette la canule.
Lèche-moi le trou, d’abord, ça entrera mieux.
Tiens… tiens… c’est assez ?
Oui, mets la canule et tourne le robinet.
Voilà… ça n’est pas trop chaud ?
C’est brûlant, mais j’aime ça… Je jouirais sans me toucher quand je prends un lavement.
Là, c’est fini. Garde-le un moment.
Je ne peux pas… il faut que je chie tout de suite… couche-toi si tu veux le recevoir.
Sur mes tétons d’abord… sur le gauche.
Je peux tout lâcher ?
Oui. Tiens… à toi !
Oh ! que c’est vert ! c’est plein de merde, mon amour, et chaud comme du jus de con… Ah ! une petite crotte… je vais la mettre dans ma fente, ça me la parfumera… Avance-toi un peu… fais-le sur mon ventre… Oh ! encore… encore… sur mon bouton… oh !… oh !… je jouis, mon chat, je décharge !… »

 

IV À la porte :

« Sophie ? La grosse brune qui travaille en face ?
Oui ! Écoute que je te raconte. C’était ce matin à cinq heures. J’étais levée pour aller à l’atelier et je me démêlais les tifs quand j’entends derrière ma porte un bruit, qu’on aurait dit un pet. J’ouvre vite, et qu’est-ce que je vois : la Sophie, les jupes en l’air, en train de chier sur mon entrée !
Ben, merde, elle a pas la trouille.
J’aurais voulu que tu soyes là. Elle avait encore un étron long comme un manche à balai qui se balançait au trou de son cul. Ça puait comme trente-six chiottes… Ah ! la garce ! elle a voulu se relever, mais j’y avais déjà foutu par-derrière un coup de pied dans les parties qu’elle en a gueulé fallait l’entendre ! Alors les voisines sont sorties sur le carré, je leur ai montré comme quoi cette rouchie-là venait vider son foiron devant ma porte à cause que j’avais pas été consentante d’y bouffer le cul, et nous nous sommes mises à quatre, nous y avons fourré le museau dans son caca, comme on fait aux chattes. On a rigolé, bon sang ! »

 

V Bonnes amies : (18)

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« Nini, viens que je te cause. Veux-tu boire du foutre de l’homme que tu gobes ?
De Julien ?
Oui, du foutre de Julien, du foutre de sa queue, du foutre de ses couilles, en veux-tu ?
Oui, j’en veux. Où qu’il est, Julien ?
C’est pas lui qu’en a, c’est moi… Écoute, ma gosse, tu sais que, si je couche avec lui, c’est par pour te faire des traits. II me saute dessus, faut bien me laisser piner, mais c’est pas que j’ai mauvais coeur ; à preuve que quand j’en ai, de son foutre, c’est pour ta petite gueule si tu veux.
Où que t’en as ?
Dans mon cul, derrière ?
Oh ! cochonne, tu te laisses enculer, c’est pour ça qu’il bande pour toi. Moi, le seul jour qu’il m’a pelotée, il a voulu par là, je voulais par-devant, il est parti… Raconte, y a combien de temps qu’il t’a enculée ?
Mais tout de suite, là, dans le corridor. Dépêche-toi, je serre le cul, crainte que ça ne me coule.
Oh ! chie-le-moi vite, dis, pendant qu’il est chaud ! faut que je goûte comment il sent. Mets ton cul sur ma bouche là… Pousse ! pousse !… tout ! ah ! tout ! »

 

VI Déplorable accident :

« Oh ! ce que j’ai manqué d’être foutue à la porte hier !
Toi ? tu t’as fait choper avec ta patronne ?
Choper ? Penses-tu que j’ai douze ans ? J’en ai vingt-deux, ma chère, je me fais pas choper.
Alors quoi ?
Monsieur est parti plaider à Toulouse. Alors Monsieur Léon a passé la nuit avec Madame, comme de juste, et moi j’étais là sur leur pieu. Madame qu’aime pas la queue, faut lui passer la langue au cul pour qu’elle se laisse enfiler, tu sais ça… Ils ont tiré deux petits coups, Madame a pas joui six gouttes, alors Monsieur Léon s’a gratté les couilles, il a voulu trouver quéque chose. Il y a dit : “Sais-tu le bon moyen ? C’est que je t’encule pendant que Marie te fera mimi par-dessous.”
Ah ! le salaud.
Elle a dit : “J’ose pas. Fais-le d’abord à Marie pour me montrer.” Moi je m’en foutais, tu penses, mon pucelage d’arrière il est loin comme l’autre. J’ai fait 69 avec Madame, moi dessus. Il m’a enculée gentiment, et Madame criait : “N’y jouis pas dedans ! Garde tout pour moi !” V’là-t-y pas qu’il a senti que ça venait et qu’il a retiré sa queue vite comme un bouchon d’une chopine ! et tout ce que j’avais de merde dans les boyaux s’a chié sur la gueule à Madame ! Ah ! là ! là ! ce qu’elle puait ! Si t’avais vu le coup ! »

 

VII Chie-moi sur la pine :

« Penser que t’es ma soeur et que tu fais tout ça ! Ah Marie ce que tu me dégoûtes !
Laisse donc ! tu sais pas le plus cochon !
Quoi que c’est encore ?
J’ai un vieux client qui vient au bordel qu’à midi. Il me réveille quand je suis couchée avec ma doubleuse, la grosse Juive que je lui bouffe le cul…
Oh ! tais-toi !
Quand il vient, ma doubleuse sort du pieu, il se couche à sa place, au chaud, il me fourre le doigt dans le trou du cul, il me dit : “Putain, t’as envie de chier ?” J’y dis : “Oui.” Il me fait : “Chie-moi sur la pine.”
Tais-toi, Marie, ou je dégueule.
Dégueule donc, ma gosse, te gêne pas. il me fait : “Chie-moi sur la pine.” On se fout sur le seau, ça le fait bander, j’y foire tout mon chocolat sur le bout de la queue, je lui étale avec la main…
Ah ! la salope ! la salope !
Et quand toute sa cochonne de pine est merdeuse du haut en bas, qu’on dirait un étron de pucelle, il me la refout dans le trou du cul, et faut voir comme ça rentre, t’en fais pas autant, la môme, tu sais pas ce truc-là, parions ? »

perverpeper@perverpeper.com

 

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