La ballade de Lara et Gemma 23 |
LA BALLADE DE LARA ET GEMMA : L’HISTOIRE CONTINUE
Adaptation Française : Perverpeper.
Chapitre 23 : Lara.
Lara le fixa longuement.
Ça ne cessait pas de l’impressionner. Pourtant, elle ne se trouvait pas grosse, au contraire. Elle mangeait sainement et aussi modérément. Elle n’avait rien de particulier.
Et pourtant, elle expulsait toujours les plus gros et les plus longs étrons qu’elle ait jamais vus. Plus gros que n’importe laquelle des femmes qu’elle ait visionné sur les vidéos que la société Brute produisait, et même plus gros que la plupart des hommes.
Beaucoup de gens arrivaient à en pondre de plus grosses quantités, mais toujours plus petits. Quoi qu’il en soit, les siens ressemblaient à ces aérostats gonflables qu’on appelait des Zeppelins. Énormes et imposants.
Pour une raison inconnue, ils étaient aussi, souvent, pleins d’air. Elle les appelait ‘les flotteurs’. Depuis son adolescence, ça l’avait souvent embarrassée ; d’autant plus qu’elle avait du mal à les faire disparaître lorsqu’elle tirait la chasse. Ils remontaient souvent à la surface et s’agitaient au fond de la cuvette, tandis que l’eau fluait et refluait.
Ses camarades de pensionnat ne semblaient pas avoir les mêmes problèmes. Au début, Lara détestait qu’une autre fille rentre dans la même cabine qu’elle venait de quitter et s’insurge en criant à tue-tête que c’était dégueulace et que les gens devraient apprendre à tirer la chasse d’eau.
Puis, le temps avait passé et elle apprit à en sourire et même à en jouer.
Aujourd’hui, au contraire, elle en tirait une grande fierté.
Elle le fixa à nouveau, puis se détourna pour se concentrer sur Michelle. Celle-ci attendait patiemment, agenouillée devant la cuvette, tandis que Lara procédait à ses abblutions matinales.
Elle écarta les cuisses.
« Approche ! »
Docile, Michelle s’empressa, à genoux, et plongea sa tête entre les cuisses de sa Maîtresse.
« Je ne t’ai pas demandé de me lécher ! Regarde plutôt ce qu’il y a au fond ! »
Cette fois, il n’y avait que l’énorme dirigeable et une petite crotte qui paraissait ridicule, à côté.
« Impressionnant, non ? »
Michelle déglutit nerveusement.
« Heu… O… Oui, M… Maîtresse. »
« Enfonce ta tête dans la cuvette » Ordonna Lara distraitement, tout en se relevant.
Elle avait employé le même ton que si elle avait demandé l’heure qu’il était ou qu’on lui passe le sel.
Les grands yeux bleus s’écarquillèrent à la fixant, implorants.
Lara haussa les épaules.
« Mets ta tête là-dedans, j’ai dit. À moins que tu préfères… »
Elle s’empara d’un rouleau de papier toilette spécialement conçu à sa demande. Chaque morceau de papier était imprimé d’une photo de Bob et Joan, les parents de Michelle, qu’elle avait prélevé dans le dossier de sa victime.
Michelle se mit à gémir doucement, en fixant avec horreur le papier hygiénique.
Lara se pencha en avant et frotta avec délices le morceau entre ses fesses, puis elle le ressortit et l’étudia attentivement. Les taches marrons la firent éclater de rire.
« Peut-être que tu préfèrerais que j’essuie mon cul sur le visage de ta mère, plutôt. Non ? »
« N… Non, Maîtresse. »
Lara approuva d’un geste de la tête en observant Michelle se pencher et glisser sa tête à l’intérieur de la cuvette. Elle attendit que l’esclave soit dans la position requise.
« Bien, maintenant ne bouges plus. »