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Par Parker

 

Parker 03 : Entraînement

Synopsis : Troisième opus de la série de Parker : Il n’avait aucune idée de ce qu’"entraîner" signifiait pour elle avant d’accepter de participer.

ATTENTION : Ce récit (plutôt court) parle de viol en réunion. Si vous ne voulez pas lire ce genre d’histoire, arrêtez-vous maintenant. VOUS AVEZ ÉTÉ PRÉVENU.

Copyright 1993 par Parker (moi).

Adaptation Française : Perverpeper

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« Jerry… non. Pas ça. »

« Allez Cindy. »

            Elle secoua la tête, mais ne protesta pas plus quand je la guidai jusqu’à une chambre innocupée de l’étage. Les bruits de la fête s’amenuisèrent lorsque la porte se referma. Cindy n’était vraiment pas ce genre de fille. C’était une vraie "fille à papa" : Toujours de bonnes notes à l’école, jamais à la maison après onze heures. Vous savez. Mais nous étions ensemble depuis près de deux mois maintenant, et je pensais que j’avais droit à un petit calin. Je peux vous dire qu’elle aussi y pensait. Bon sang, nous étions tous les deux en terminale. Elle rechignait simplement pour me montrer qu’elle n’était pas une fille facile.

            Avant peu, nous nous embrassions, allongés l’un contre l’autre sur le lit. Je n’arrivais pas à croire ma chance ; Cindy était l’une des plus jolies poulettes du lycée. Avec ses cheveux chatains bouclés et ses yeux bleu clair, elle devait faire rêver tous les mecs du bahut.

            Presqu’aussitôt, je sentis une érection démentielle déformer mon jean. Sa main m’avait effleuré (accidentellement ?) ; elle rigola nerveusement, mais ne se déroba pas. Cet instant se prolongea, et j’avais même commencé à déboutonner son chemisier et à glisser ma main dans son soutif lorsque la porte s’ouvrit brutalement. Effrayés, nous nous interrompîmes en plissant les yeux vers l’éclat de lumière provenant de l’entrée.

            C’était Hammond ; Brian ‘Balèze’ Hammond : Trois-quarts de l’équipe de rugby, terreur du bahut et un mec à qui je devais vingt biftons. Bordel.

« Tiens Jerry, comment ça va ma couille ? »

            Je bondis sur mes pieds. Cindy se recroquevilla sur le lit, les yeux écarquillés, tentant désespérément de refermer son chemisier. Ce qui venait de se passer était évident.

« Qu’est-ce tu veux Bry ? » Je tentais d’avoir un ton détaché, mais ma voix se cassa. Ce type pouvait – et il le ferait certainement – me défoncer le crâne sans même s’en rendre compte. Je remarquai qu’il était accompagné par deux de ses potes.

« Oh juste une petite participation, Jer. » Il matait Cindy sur le lit. « C’est un peu égoiste de garder tout ça pour toi tout seul. » Un des types qui l’accompagnaient ricana. C’était Allan Grant ; il avait été jeté de Greenwood la semaine dernière parce qu’on l’avait surpris avec un cran d’arrêt. Mon estomac se contracta méchament.

« Bry… »

« Faut payer tes dettes mon pote. » Hammond s’approcha de nous en dégraffant sa ceinture. « Et je pense qu’il est temps de passer au tiroir-caisse. »

            J’essayai de l’arrêter, mais Grant et l’autre tâche m’attrapèrent par les bras et m’immobilisèrent. Je me débattai mais autant pisser dans un violon. La seule chose que je pouvais faire, c’était de regarder. Hammond abaissa son jean sur ses chevilles et s’affala sur le lit.

            Sur Cindy.

            Elle pleurnicha et tenta de lui échapper, mais il se servit de son poids pour la clouer sur le lit. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il avait arraché tous les boutons de son chemisier et remonté sa jupe autour de sa taille. En grognant, il s’activa, à genoux, et enfonça sa queue à l’intérieur de sa chatte. Cindy avait le souffle coupé et s’était mise à pleurer, mais il s’en foutait complètement. Il continua à la pistonner pendant environ trente seconde, jusqu’à ce qu’il se raidisse et jouisse bestialement. Lorsqu’il fut satisfait, il se retira et roula sur le côté. Cindy restait immobile, les jambes écartées, haletant pour retrouver sa respiration.

Hammond laissa sa place à Grant et, rapidement, lui aussi se mit à la baiser sur le lit. Cindy ne se débattit pas lorsqu’il se coucha sur elle. Elle ne se débatit pas lorsqu’il lui arracha son soutien-gorge et se mit à jouer avec ses petits seins. Elle ne se débatit pas lorsqu’il introduisit sa bite dans sa chatte et commença à la pistonner. Au plus fort de ce deuxième assaut, elle restait étendue, sans résistance, molle.

            Rapidement, Grant se soulagea et le troisième type prit sa place. Aussitôt, il se mit à la baiser dans les mêmes conditions. Au bout d’un moment, je me rendis compte, avec embarras, que mon érection recommençait à distendre mon jean. Hammond le remarqua lui aussi.

« Hé Jerr, » rigola-t-il. « T’inquiètes pas mon pote. Ça va bientôt être ton tour. »

            Je remuai la tête négativement, mais je n’arrivai pas à arracher mes yeux de la scène qui se déroulait sur le lit : Ce type, étendu entre les longues jambes lisses et nues de Cindy, qui agitait son sexe à l’intérieur de son con entièrement détrempé maintenant.

            Elle ne résistait toujours pas. C’est peut-être à cause de ça que, lorsque le troisième gars eut terminé, Hammond me poussa en avant. Je baissai mon pantalon et introduisais rapidement mon membre tendu à craquer dans sa chatte ouverte. Elle était très humide et très étroite. Tout comme moi, elle était vierge avant cette nuit.

            Ce fut merveilleux de la baiser alors qu’elle était étendue là. Au moment où j’allais jouir, elle ouvrit les yeux et me fixa avec une expression d’horreur muette. On aurait dit qu’elle allait parler, mais, à cet instant précis, j’avais autre chose en tête. Je refermai ma bouche sur l’un de ses seins et mordis son téton en éprouvant le plus formidable orgasme de ma vie. Quelqu’un criait, mais ça semblait si lointain. J’avais l’impression que mon plaisir allait durer éternellement. Elle criait toujours lorsque je desserrai mes dents.

            Bordel, je me sentais comme de la merde. Mais ça avait été si bon !

« Cind… »

« Ho ho ho… Qu’est-ce qui se passe ici ? »

            D’autres types venaient de rentrer dans la chambre. Je ne les connaissais pas ; apparemment c’étaient des potes d’Hammond.

« Rien de particulier, » se marra Hammond. « Cette petite poupée est seulement entrain de faire sa première séance d’entrainnement. » Il me regarda pendant que je retirai ma bite de son con. « Pas vrai, Jerry ? »

            Je ne savais pas ce que pouvait être un entraînement. Je n’arrivais pas à penser à autre chose qu’au fait que je venais de prendre Cindy de force, et tous ces mecs avaient tout vu. Je me dis que la meilleure chose pour moi était approuver tout ce qu’il disait.

« Ouais Bry. » Rigolai-je en le regardant, comme si j’étais dans le coup. « C’est exactement ça. »

            Le sourire d’Hammond s’agrandit lorsqu’il se tourna vers les arrivants.

« Vous êtes pile à l’heure les gars. » Annonça-t-il. « À votre tour. »

« OK ! »

            Le premier type ne perdit pas de temps. Il se débarrassa de son pantalon, se précipita sur la place que je venais de laisser et se mit à baiser Cindy. Cette fois, elle se débattit, se tortillant et ruant sous son emprise, mais tout le monde eut l’impression qu’au contraire, elle se donnait à lui. Je crois qu’elle a essayé de crier, mais il l’avait recouverte avec sa propre bouche et enfoncé sa langue.

            Impuissant, je regardais tous ces mecs baiser ma petite copine. Au bout d’un moment, ils la forcèrent à changer de position, a quatre pattes, pour qu’on puisse la prendre par derrière et par la bouche en même temps. J’étais sûr qu’elle n’avait jamais vu autant de bites à la fois avant ce soir ; maintenant, elle les suçait comme une pute. Je pris même mon tour. Je ne crois pas qu’elle m’a reconnu ; elle se contentait de sucer aveuglement tout ce qu’on pouvait lui enfoncer entre les lèvres, tout en agitant mécaniquement son bassin d’avant en arrière contre la queue qui la pénétrait par derrière. Je pense même qu’elle a eu un orgasme en me suçant, mais je n’en suis pas sûr.

            Après avoir joui partout sur son visage, je me retirai pour regarder, tandis que de nouvaux types arrivaient à leur tour. La nouvelle avait certainement dû se répandre dans la fête et tout le monde voulait en profiter. Maintenant, les vêtements de Cindy gisaient, imbibés de sperme ; ses cheveux bouclés étaient plaqués contre sa tête par la sueur et nos semences ; des coulées de fouttre ruisselaient à l’intérieur de ses cuisses. Elle avait l’air d’une vraie salope.

            Je m’appretais à partir lorsque Hammond posa sa main sur mon épaule et m’attira à l’écart.

« Jerr… Si quelqu’un veut savoir, elle était saoule et voulait que tu la baises. Comme tu ne voulais pas, elle s’est rabattue sur les autres. » Il me fixa intensément. « C’est bien ce qui c’est passé non ? » Je hochais la tête en signe d’approbation tout en regardant vers la sortie. Hammond et ses copains confirmeraient si nécessaire. Au regard de ce qui se passait dans la chambre, personne ne pourrait certifier qu’elle avait été forcée. J’étais hors de cause.

            Hammond me relâcha, et je jetais un dernier coup d’œil sur elle avant de m’en aller. Elle était toujours à quatre pattes, une bite dans le cul (quand cela avait-il commencé ?) et une autre dans la bouche. Je ne pus détacher mon regard lorsque le type jouit dans sa bouche, faisant gicler son fouttre au fond de sa gorge. Lorsqu’il se retira, elle tourna son visage maculé de sperme vers moi et me regarda.

« Jerry… »

            Elle tendit sa main dans ma direction pour m’appeler, mais deux autres queue prirent leur tour, l’une entre ses lèvres et l’autre dans sa main levée. Alors, maintenant tant bien que mal son équilibre précaire sur sa main restante, elle se mit à sucer le type tout en masturbant l’autre. Ses yeux eurent une expression absente et un frisson parcourut son corps.

            Je quittai la chambre. J’avais l’impression qu’il fallait que je me trouve une nouvelle petite copine. Il était évident que je ne pouvais plus sortir avec Cindy. Il n’y avait que quelques filles comme elle dans l’école et tout le monde les connaissait, elle se faisaient baiser très souvent, mais on ne pouvait décemment pas sortir avec elles. Pas avec ces salopes et c’était ce que Cindy serait pour tout le monde maintenant.

            Et tout le monde le saurait.

            J’esperai qu’elle allait aimer ce nouveau rôle au sein du bahut. Personnellement je savais que ça me plairait, du moins jusqu’à ce que je me trouve une nouvelle petite copine.

 

FIN

perverpeper@perverpeper.com

 

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