Ma cousine, mon esclave |
Par Cigiteux, le 14/04/09
Ma Cousine, Mon esclave
Un jour, ma tante m’a quasiment obligée à loger chez moi ma cousine Sabine pour un mois. J’étais modérément ravie. Blonde, grassouillette, pataude et même un brin demeurée, Sabine avait reçu en plus une éducation très stricte, ce qui fait qu’à 22 ans, elle ne connaissait rien à la vie, à tel point qu’elle ne savait même pas se masturber et n’avait jamais eu l’idée de le faire Avec ses nattes blondes, ses habits démodés et usés et ses culottes «Petit-bateau », elle était passablement ridicule J’en fis rapidement ma souffre-douleur, la déculottant et la fessant à la moindre incartade. Une nuit d’orage, je me tournais et me retournais dans mon lit, sans parvenir à trouver le sommeil. La chaleur était intenable, même les fenêtres ouvertes. J’envoyais balader mes draps et m’assied sur mon lit. Ma chemise de nuit me collait à la peau, j’étais en sueur. Je sentais les gouttes perler le long de mon dos et descendre dans le creux de mes reins. Je se leva de mon lit, alla chercher mon paquet de cigarettes et se mit à fumer. Je m’allongeais de nouveau et commença à tirer des bouffées de tabac, regardant la fumée s’élever dans ma chambre en fines colonnes bleutées. J’éteignis la lumière.
Machinalement, je mis sa main entre mes cuisses. Je me sentis toute mouillée et mon sexe me démangeait. Fermant les yeux, je me laissais aller à des pensées érotiques. Elles tournèrent rapidement autour de la même obsessions les fesses de ma cousine. J’imaginais les fessées administrées, le plaisir de sentir sous ses mains ces globes roses et doux, de les écarter au maximum. Une bouffée de chaleur se diffusa dans tout mon corps. Les joues en feu, le clitoris en érection, je luttais un moment contre l’idée perverse qui me venait à l’esprit. Puis, je m’abandonnais. Lors d’une fessée, donnée pour la punir, j’avais attentivement observé l’entre-fesses de ma cousine. J’étais fascinée par l’anus vierge ci extrêmement étroit de Sabine. Tout d’abord, j’avais songé l’exciter avec ma langue, mais cela ne me suffisais pas. Il me fallait encore plus. Rapidement, l’idée fit son chemin. Tout d’abord, j’envelopperais ma cousine de tendresse et de gentillesse, puis, une fois celle-ci mise en confiance, me mettre en colère et la punir. Evoquer la chaleur, la sueur, la trouver sale... Alterner les gentillesses et la violence, lui tenir un discours sur la propreté, à la fois ferme et doux. Lui rafraîchir le visage et l’obliger à me donner sa culotte. Lui faire honte, la faire pleurer, et là, redevenir immédiatement gentille. Et, sous prétexte de lui apprendre à bien se laver les fesses, jouer avec la petite pastille, puis, lentement, méthodiquement, faire goûter, découvrir et, qui sait, apprécier à Sabine le plaisir du lesbianisme. La toilette intime constituerait la première étape de son initiation saphique. Cette nuit, je ferais jouir Sabine, changeant nos relations elle deviendrait esclave sexuelle, esclave tout court... Je procédais exactement comme je l’avais imaginé. Je suis rentrée dans la chambre de ma souffre-douleur, je l’ai saisie par les poignets et l’ai traînée hors du lit. Rageusement, je lui arracha sa chemise de nuit puis, la tirant par les cheveux, l’obligea à s’asseoir sur une chaise. Là, je lui liais les mains dans le dos et lui posais les jambes sur un tabouret. Maintenant que Sabine était sans défense, je pus lui retirer ses socquettes avec la lenteur sadique de circonstance...
Après lui avoir donné une double paire de gifles, je lui ordonnais de remuer les orteils pendant deux minutes, ce qui m’inspira la première des tortures. Je commençais par lui fouetter les pieds avec le martinet, les frappant alternativement le gauche et le droit, mais également la plante et les orteils. Puis, je continuais à frapper, remontant progressivement le longs des jambes. Sabine devait toujours agiter les orteils. Je pris le visage de Sabine entre mes mains et l’embrassa comme une mère embrasse son tout petit enfant. Avec érotisme, j’entrepris de lécher consciencieusement les pieds de Sabine. Ma langue allait et venait le long de la plante des pieds, remontait jusqu’aux orteils puis redescendait. Extrêmement chatouilleuse, Sabine se déballait en riant niaisement mais progressivement, s’abandonnait. — Files au coin et excuse toi. Tête basse, pieds nus, à genoux et mains sur la tête, Sabine commença à demander pardon. Je m’approchais d’elle. Je voyais la sueur glisser le long de son dos. Elle avait chaud, mais aussi très peur. D’un coup, je baissais sa culotte à mi cuisses et la déchira sans pitié. Elle était trempée à l’entrecuisse.
Ma cousine avait mouillé. — Regarde, tu as sali ta culotte. Tu as fais pipi dedans... Toute gênée, elle répondit que ce devait être la sueur... La traitant de menteuse, je décidais de la punir. Je fessais Sabine longtemps. Puis, les claques se firent de moins en moins forte. La main restait plus longtemps au contact de la peau chaude et rougie. Sabine sentait que loin de la battre, j ‘étais en train de lui caresser les fesses. Elle puisa les dernières parcelles de courage qui lui restaient et murmura, suppliante: — Non, non Christelle... arrête. Pour toute réponse, je lui écartais les fesses et cette fois, lui caressa l’anus. — Arrête ! Je vais le dire à ma maman! — Si tu dis quoi que ce soit à tes parents, Sabine, tu sais ce que je te ferais ? J’amènerais des garçons à la maison et je te laverais devant eux... Je te ferais déshabiller par eux, totalement. Tu entends ça, ma petite Sabine, ils enlèveront tous tes vêtements, même ta petite culotte. Puis, je t’attacherais toute nue à ton lit, de façon à ce qu ils voient bien ta petite boutique. Ensuite, avec un glaçon bien froid, je nettoierais bien ton petit clitoris, jusqu’à ce qu’il soit tout froid, tout gelé... Ensuite, lorsque le glaçon aura bien fondu, je te l’enfoncerais dans le vagin. où il finira de fondre... Mais ce n’est pas tout, ensuite, je te laverais les fesses avec un second glaçon que j’enfoncerais pour qu’il finisse de fondre dans ton petit trou du cul. Et, pour te réchauffer, je t’enfoncerais le Babyliss dans le vagin et le mettrait en marche... — S’il te plaît, pas le Babyliss, pas ça, pas ça! — Alors laisse toi faire ! Bien, maintenant, avec tes mains, tu vas écarter tes fesses au maximum... Sabine obéit avec application, se redressa, dévoila son intimité anale. Je m’avançais, humidifiant avec ma salive le manche du martinet... Avec celui-ci, je recueillis un peu de merde... puis ma main passa sur son sexe. Les lèvres étaient collées de mouille.
J’en recueillis sur mon doigt, le présenta à Sabine avec le manche du martinet. — Alors ? dis-je. C’est aussi de la sueur? Je lui montrait alors sa culotte, pleine de traînées jaunes et brune, en disant long sur la malpropreté de ma gourde de cousine... Sabine pleurnicha. — Te battre ne servirait à rien. Puisque visiblement tu es dépourvue de la moindre hygiène intime, je vais te placer sous ma tutelle totale. A partir de maintenant, chaque matin et chaque soir, je te mettrai toute nue et je te laverais de la tête aux pieds. Tu m’entends, grosse débile? Je ferai ta toilette complète: je te laverai les cheveux, je te baignerai, te laverai les dents. Je te laverai particulièrement les pieds, les fesses et surtout le sexe, en insistant sur le clitoris avec un coton et en nettoyant bien au plus profond du vagin et de l’anus. On va commencer dès maintenant. En toute première chose, je vais te faire prendre un bain, mais d’abord, retourne toi... Elle le fit. — Allonges-toi sur le lit. Suce ton pouce... Là, bien, comme ça... Maintenant Sabine, écartes bien les cuisses. Allez, mieux que ça! Je veux tout voir. Montre-moi l’intérieur de ton sexe ! Ecartes tes lèvres. Suffoquée par l’horreur de la demande, Sabine refusa en pleurnichant. Je ne me laissais pas émouvoir. Elle fut jetée sur le lit comme une poupée de chiffon. Je l’obligeais à plier les jambes et à écarter les cuisses. Elle se retrouva dans la position du bébé sur la table à langer... Les mains palpitantes d’excitation, j ‘écartais doucement le sexe de Sabine.
Elle sentit immédiatement que la toilette intime de celle-ci était des plus négligée... — Bien entendu. Rien d’étonnant de la part d’une coincée pataude et crasseuse qui souille ses culottes et qui est incapable de se laver correctement ! Comme tu ne l’as jamais fait, je vais m’en occuper. — T’occuper de quoi? — Je vais te nettoyer minutieusement le clitoris. Il en a bien besoin ! — Mais, Christelle... Je la giflais immédiatement. — Ne m’appelle plus comme ça. A partir de maintenant, tu me vouvoieras et je serais pour toi «Maîtresse ». Pour moi, tu t’appellera désormais « Grosse fillette pataude », compris ? Avoues ta bêtise maintenant... Des grosses larmes coulaient sur les joues de la vaincue. — Oui, maîtresse, vous avez raison, c’est moi qui suis sale. Je bâclais ma toilette en cinq minutes et ma stupide pudeur m’empêchait de bien de laver. — Bien. Grosse fillette pataude, pour commencer, on ~a enlever toute cette vilaine toison superflue: un gros bébé, ça doit être tout lisse… Sabine me regardait bouche bée. Je mis l’épilateur en marche, je le posais sur sa motte et, lentement, minutieusement, je lui ai rasé intégralement le sexe; éliminant la toison pubienne toute blonde, puis la rasa également sous les aisselles. Après un instant de réflexion, je lui rasais aussi les sourcils, lui coupa les cils et, avec une pince à épiler, entreprit de lui arracher tous les poils de l’entrefesses. Je lui coupais les ongles des mains et des pieds, lui débarbouilla le visage au gant de toilette.... — Voilà! lui dis-je, c’est plus conforme à ton âge mental Je la lavais avec une éponge douce, en la traitant comme un bébé. Mais bizarrement, lors du nettoyage, je jugeais que les pieds, les seins et les fesses devaient être copieusement savonnés et rincés. Mais le supplice n’était pas fini. Je me mis à rire — Allez on va fignoler, Grosse fillette pataude ! Je vais te laver minutieusement le clitoris. La respiration de Sabine était saccadée, elle tremblait de peur... Je tremblais aussi, mais d’excitation.
Je posais mes mains autour des hanches de ma cousine, puis, je glissais le long du bassin vers le sexe. Je parcourus de mon index le sillon virginal des lèvres. Je souriais personne ne s’y était jamais aventuré. Sabine ignorait tout des techniques de la masturbation. Je m’approchais de la «punie », l’obligeais à rester maintenue le sexe ouvert. Je ne pouvais plus détacher mon regard de la chair rose et odorante des muqueuses. Désormais lisse, la fente de Sabine ressemblait à un coquillage. Je débusquais le petit clito de son abri de chair et commença à le caresser avec un coton-tige. Puis, devant «l’inefficacité» de ce nettoyage, j’utilisais mon doigt. Puis, je mis ma tête entre ses cuisses. Avec ma langue, je me mis à titiller le clitoris de Sabine. La toilette intime n’était qu’un prétexte, et durant de longues minutes, Sabine fut doucement masturbée, tantôt avec mes doigts, tantôt avec ma langue. La pauvre enfant poussa un «maman » déchirant lorsqu’elle fut secouée par les spasmes de la jouissance. Depuis cette nuit, ma cousine est mon esclave. Lorsque j’invite des amies à la maison, elle fait le service, vêtue uniquement de ses babies et d’une paire de chaussettes blanches allant jusqu’aux genoux. Une fois que nous avons bien bues, on s’amuse avec elle. L’une d’entre nous l’installe sur ses genoux et on lui donne à boire du lait dans un biberon. Lait dans lequel on a mis pas mal d’alcool. Puis, on l’oblige à s’accroupir devant nous et à faire ses besoins dans une cuvette. Ensuite, on la torche.
Il y a pas de mal de jeux que l’on aime faire par exemple, la mettre pieds nus puis faire fondre lentement un glaçon en le passant sur la plante et les orteils. On la fait mouiller et ensuite, on recueille sa cyprine sur une petite carotte et on la lui fait manger. Quand on est très excitées, on lui enfonce des noyaux d’olive dans le cul. Mais ce qu’on apprécie par dessus tout, c’est de lui enduire la chatte, et principalement le clitoris, de tarama. Ensuite, on lèche du bout de la langue, très lentement, en insistant bien sur chaque plis. Généralement, elle jouit. Alors, pour la punir d’avoir fait des choses sales, on lui donne une fessée au martinet. Parfois, je la punie devant des invitées, toujours des femmes. Sabine sert le dîner. On laisse la porte de la cuisine ouverte et on « surprend» Sabine volant du pain. Je la gifle devant les invités. Sabine fait tomber un peu de sauce sur le sol. Je la bats et la force à faire un lent strip-tease, ne gardant que chaussettes et culotte. Elle doit se mettre à quatre pattes et lécher la sauce, puis aller au piquet. Je la fouette. Sabine hurle et supplie. Elle se tourne vers les invitées et dit qu’elle n’a pas eu le droit de manger.
La traitant de menteuse, je la fait tomber sur ses genoux. la déculotte et la fesse. Pour lui faire avouer la vérité, je lui confisque ses chaussettes et lui mord les orteils un par un, puis, fait couler de la cire fondue sur les pieds de Sabine jusqu’à ce que celle-ci reconnaisse son mensonge. Sabine doit s’allonger sur la table, toute nue, jambes repliées et écartées. «Tu as faim? Je vais te donner à manger » dis-je en ricanant. Je prends une carotte, l’épluche et, lentement, l’enfonce dans le sexe imberbe de Sabine. Ensuite, je la masturbe avec la carotte. Sabine jouit et doit lécher puis manger la carotte. Si elle a encore faim, on prend une deuxième carotte et une invitée se masturbe avec. Sabine finit de servir le repas toute nue et ses habits sont confisqués jusqu’au départ des invitées qui, généralement, s’éclipsent dans la chambre d’amis pour se faire lécher par Sabine ou pour la goder...