La directrice de l'institut Ospif (41) |
Par Charlène O
Collection "Entre filles..." par Charlène O.
Episode 41: "La vengeance de Sandra" (deuxième partie)
Sandra était au bord de la jouissance, sans même se toucher. Elle tenait la
femme à sa merci et comptait bien en profiter à fond - il y avait peu de
chances qu'elle ait jamais une deuxième occasion. En plus, c'était le seul
moyen pour effacer l'humiliation devant ses camarades de classe: bien que
personne n'ait jamais fait allusion à ce qui s'était passé dans la classe sauf
pour la consoler, Sandra n'était pas dupe: les filles s'étaient excitées du
spectacle qu'elle avait donné quand elle s'était contorsionnée comme une folle,
le sexe rongé par le Baume du Tigre. En se montrant à la hauteur de sa
vengeance, de ce que les filles attendaient d'elle, elle pourrait regagner son
prestige et reprendre sa place dans la classe. Elle enfonça son doigt d'un coup
sec aussi loin qu'elle le put, forçant le sphincter et le lubrifiant à la fois.
Madame Liliane sursauta et se mit à trembler convulsivement. Ses yeux
tournèrent dans leurs orbites, on ne voyait que le blanc. Puis, les mouvements
dans son rectum la firent revenir sur terre. Confusément elle espérait encore
que ce soit un cauchemar, qu'elle allait se réveiller, en sueur, dans son lit.
Au contraire, Sandra revint à l'attaque et inséra un deuxième doigt dans
l'étroit canal. Sans plus réfléchir le jeune prof tenta désespérément de se
détendre, afin de faciliter cette pénétration honteuse - on lui avait un jour
dit qu'en cas de viol il fallait essayer de se détendre pour limiter les
dégâts.
Ceci était pire qu'un viol. C'était une vengeance raffinée, une violence
calculée. Les filles ne perdaient pas une miette du spectacle. Des cuisses se
frottèrent. Discrètement d'abord, ensuite, le gin aidant, avec moins de pudeur.
Anne fut la première à se caresser sans s'occuper de la présence des autres.
Elle baissa sa culotte sur ses genoux, releva sa jupe et se donna du plaisir,
le regard fixé sur les doigts de Sandra qui fouillaient toujours le fondement
du jeune professeur. Quand elle vit gicler l'urine, inondant la main gantée de
Sandra, Anne jouit presque immédiatement. Ses gémissements à peine étouffés
déclenchèrent chez les autres filles une sorte d'orgasme collectif. En quelques
minutes la petite pièce fut remplie de cris étouffés, de gémissements, de
halètements, le tout fidèlement enregistré sur la bande sonore du petit
caméscope Sony.
Seule Sandra continuait comme si de rien n'était. Sa vengeance lui valait
beaucoup plus qu'un simple orgasme. Elle guettait sur le visage de Madame
Liliane l'effet de ses gestes et imprimait la scène sur sa rétine, pour ne
jamais en oublier le moindre détail. Elle avait à nouveau failli jouir quand la
jeune femme, à bout de nerfs, avait uriné sur ses doigts, le ventre agacé par
les incessants assauts des doigts fureteurs. Sandra n'aurait jamais pu
s'imaginer voir un jour un professeur, ce professeur, entièrement à sa merci, écartelée comme chez le gynéco, urinant devant les filles sans pouvoir se
retenir.
La tête de Sandra lui tournait, les gémissement des autres filles étaient pour elle des encouragements. Machinalement elle se lécha les lèvres, hésitant comment poursuivre sa vengeance. Elle tira sur les lèvres du sexe, les tritura, le pinça, les étira au maximum: chaque mouvement engendrait une réaction de Madame Liliane, tantôt un tremblement, tantôt une crispation du bassin, tantôt une nouvelle giclée d'urine sur les mains de l'adolescente. Ce corps étranger dans son rectum avait stimulé ses intestins et à la honte d'avoir le sexe exposé, s'ajoutait la hantise d'avoir un accident moins innocent que d'uriner...
La main gauche toujours entre les fesses de la jeune femme, les doigts allant
et venant dans son derrière, Sandra s'occupa du sexe. Elle écarta les grandes
lèvres et regarda avec curiosité comme était faite un professeur de français.
Madame Liliane poussa de petits jappements d'horreur en sentant l'adolescente
explorer son intimité. Elle crut avoir atteint le fond de l'horreur. Elle ne
comprit pas tout de suite ce que cette paille de plastique - avec lesquels les
enfant boivent de la limonade - faisait dans la main de son bourreau. Elle
s'attendait à ce que Sandra ne l'enfonce dans son vagin, mais la jeune fille
sembla chercher plus haut, entre les plis du sexe. Le jeune professeur tenta de
voir ce que Sandra faisait entre ses cuisses, mais ses liens l'empêchèrent de
se pencher, de voir plus loin que la touffe de poils qui ornait son bas-ventre.
Soudain une douleur fulgurante lui coupa le souffle: Sandra venait d'enfoncer
la paille d'un coup jusque dans sa vessie!
Le doigt bouchant la paille, Sandra contempla son œuvre: le tuyau de plastique
disparaissait de moitié dans l'urètre. L'orifice, à mi-chemin entre le clitoris
et l'ouverture du vagin, était minuscule, aussi avait-elle dû forcer un peu.
C'était une paille avec un coude, on aurait dit un tuyau d'aspirateur modèle
réduit.
La sensation était horrible, insoutenable, comme si on avait glissé une
aiguille rougie à blanc dans le sexe de la jeune femme. Le bout de la paille
raclait l'autre paroi de la vessie.
Avec les doigts dans son derrière, cette intrusion dans sa vessie créait une
sensation étrange et douloureuse qui mit Madame Liliane au bord de l'hystérie.
Par réflexe elle essaya d'uriner pour se débarrasser de cet objet qui lui
rentrait dans le corps, mais sans succès: elle n'était plus maître de sa
vessie.
Sentant tous les regards sur elle, Sandra prit le bout de la paille en bouche.
Aussitôt un liquide chaud envahit sa bouche. Elle avait cru que cette urine lui
donnerait des nausées, mais au contraire, la sensation de puissance absolue que
lui procurait ce liquide brûlant, liquide intime de son ennemie, en fit une
sorte d'élixir, de philtre magique. Il n'était nullement nécessaire de le
boire, s'en rincer la bouche suffisait à lui conférer à jamais une emprise sur
le jeune professeur. Elle sut instinctivement qu'elle continuerait à user de
cette jeune femme, même après ce jour, même après avoir assouvi sa vengeance.
Le liquide était salé et brûlait dans sa gorge. Madame Liliane qui avait enfin
compris ce qui se passait se trémoussait sur son fauteuil. Avec horreur elle
sentit sa vessie se vider.
Puis Sandra se redressa, boucha la paille. Elle approcha son visage de celui de
la jeune femme. Pauline enleva le bâillon. Madame Liliane était sidérée, ne
pensant même pas à appeler au secours. Elle vit approcher son bourreau. Sandra
posa ses lèvres sur la bouche charnue. Madame Liliane serrait les lèvres,
dégoûtée de la bouche dégoulinante d'urine. Pauline lui pinça le nez jusqu'à ce
qu'elle ouvre la bouche. Aussitôt Sandra projeta le liquide brûlant dans la
bouche du professeur. Madame Liliane faillit s'étrangler quand l'urine lui
brûla le gosier. Le liquide salé piquait affreusement et l'idée que c'était son
propre pipi qu'on la faisait boire, augmentait son horreur. Du liquide coulait
de sa bouche, tachant son chemisier. Sandra alla chercher une nouvelle goulée
entre les cuisses écartées et la fit couler sur le visage de la jeune femme.
Elle refit le trajet plusieurs fois, grisée par l'odeur de l'urine qui
imprégnait les vêtements de Madame Liliane. Quelqu'un remit le bâillon en
place, forçant la jeune femme à avaler une partie de l'urine que Sandra lui
avait mise en bouche.
Quand la vessie fut vide, Sandra laissa la paille fichée dans l'urètre de sa
victime. Elle prit une nouvelle rasade de gin pour effacer le goût de l'urine,
se sentit invincible, capable de tout. Les filles se caressaient ouvertement,
en demi-cercle autour de leur professeur.
Sandra, grisée par sa puissance, retira enfin ses doigts de l'anus dilaté. Un
rictus de haine déformant son joli visage, elle s'approcha à nouveau du visage
de la jeune femme. Ostensiblement elle huma ses doigts souillés. Puis elle les
approcha du nez de sa victime. Pauline lui tenait la tête, l'empêchant de se
détourner. Sandra chercha à tâtons le mamelon du jeune prof et se mit à le
triturer.
"Maintenant vous allez bien gentiment me nettoyer les doigts que vous avez
salis..."
Devant les lèvres obstinément fermées, elle se mit à pincer méchamment le mamelon qui avait gonflé entre ses doigts. La douleur fit haleter la jeune femme. Quand Sandra pinça le mamelon avec ses ongles pointus, Madame Liliane crut défaillir. Sandra sentit le sang couler entre ses doigts. La douleur devait être horrible, mais elle ne lâcha pas. Folle de douleur la jeune femme abandonna la lutte et se mit à lécher frénétiquement les doigts que lui tendit l'adolescente. L'esprit obnubilé par la douleur elle ne rendait pas vraiment compte de ce qu'elle faisait. Les filles avaient recommencé de se caresser, prodigieusement excitées par cette scène d'une violence raffinée. Satisfaite, Sandra retira ses doigts de la bouche de sa victime et lâcha le mamelon. Du sang avait coulé sur le soutien-gorge. Sandra suça le mamelon et se barbouilla les lèvres de sang puis embrassa à nouveau la jeune femme. Elles avaient toutes les deux les lèvres ensanglantées ce qui rendait la scène encore plus irréelle.
Sandra se leva et fit glisser son jeans et sa culotte. Sous le regard halluciné de ses condisciples qui se caressaient toujours, elle écarta le tabouret et se planta devant les cuisses écartées de Madame Liliane. Un sourire dément aux lèvres elle se cambra, le ventre obscènement en avant. Puis elle écarta les lèvres de son sexe avec deux doigts et poussa de toutes ses forces. L'urine gicla presque à l'horizontale, éclaboussant le ventre offert. Madame Liliane, qui avait cru avoir touché le fond de l'horreur, crut perdre la raison. Le liquide brûlant l'inondait, coula dans les replis de son sexe, puis entre ses cuisses. Sandra avait à peine fini que Pauline, les yeux hors de tête, la bouscula, prit sa place et urina à son tour d'un jet odorant. L'une après l'autre les filles se relayèrent, comme si elle célébraient un rite primitif.
"Maintenant, fais la gueuler!" Les filles, à moitié ivres, exhortaient Sandra à
commettre cette ultime offense.
Sandra s'agenouilla devant les cuisses écartées, puis, après un ultime regard
moqueur vers sa victime, posa la bouche sur le sexe béant. Elle se fit douce,
caressante, prenant la jeune femme - qui craignait une nouvelle épreuve
douloureuse - à contre-pied. Bientôt une chaleur moite monta de son intimité.
Elle se rendit compte avec horreur de ce Sandra voulait faire: l'adolescente
allait l'exciter et essayer de la faire jouir, là, devant les autres élèves et
devant la caméra! Elle secoua la tête, pleura de honte et de rage. Petit à
petit le travail de Sandra commençait à porter ses fruits. Malgré l'opposition
du jeune prof, son corps réagit aux stimulations combien habiles de la jeune
fille. Son corps était fatigué de se battre et accueillit ces caresses comme si
c'était un baume. Sandra usait de sa langue, de ces doigts, de son nez même,
qu'elle frottait langoureusement le long de la fente trempée. Elle touchait à
peine le clitoris, se contentant de petits coups de langue sur le capuchon.
Soigneusement elle évitait l'urètre qui devait sûrement encore être
ultrasensible. Rythmiquement ses doigts écartèrent l'orifice du vagin, sans
forcer, juste assez pour mimer une pénétration discrète et prudente. Le conduit
s'ouvrit de lui-même, dégoulinant de bave visqueuse.
Le jeune prof se mit à haleter, déchirée entre l'humiliation et le plaisir. Une lente houle agitait son bassin, allant au devant des doigts fureteurs. Les filles, toujours en demi-cercle autour du fauteuil avaient repris leurs caresses. Anne et Pauline formaient une étrange figure : elles étaient toutes les deux sur un genou, se faisant face ; Anne était assise sur le genou dressé de Pauline et vice-versa. Sa main disparaissait entre les cuisses de son amie et la main de Pauline caressait délicatement son ventre. Elles étaient joue contre joue, le regard fixé sur le jeune prof qui montrait les signes précurseurs de la jouissance.
Par de violentes secousses de tout le corps, Madame Liliane chercha à jouir. La
scène était d'une obscénité rare. La jeune femme poussait des bruits de bête
que le bâillon rendait encore plus effrayants. Une des filles se pencha et se
mit à mordiller un des mamelons du jeune professeur. Les gémissements montèrent
d'un cran. Sandra se caressait d'une main et de l'autre gardait le sexe de
Madame Liliane ouvert, permettant sa langue d'accéder aux replis secrets. Elle
flottait, ivre de puissance, de sexe et de gin. Elle sentit aux contractions de
plus en plus rapprochées que sa victime allait jouir et accéléra le travail de
sa bouche. Elle avait remis deux doigts dans le derrière du jeune prof et les
enfonçait avec un plaisir sadique dans le conduit étroit, s'en servant comme
d'un sexe. Madame Liliane se mit à trembler; son bassin bascula, comme dans une
crampe. Les spasmes du sexe béant apprirent à Sandra que le jeune professeur était en train de jouir. Méchamment elle se mit à harceler le clitoris
ultrasensible de coups de langue. Le fauteuil fit un bruit sinistre sous les
mouvements incoercibles de la femme au bord de la syncope. Quand son visage fut
inondé par un jet d'urine brûlant, Sandra se mit à jouir sans pouvoir se
retenir. Dans son exaltation elle continua à lécher frénétiquement le bouton
gonflé. Puis des mains la tirèrent en arrière :
"Arrête, elle s'est évanouie..."
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (août 2001)