La directrice de l'institut Ospif (9) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.
Episode 9: "Tendres copines"
Bien sûr qu'elle l'avait vu... La Directrice voyait toujours tout,
malheureusement...
Florence avait volé un léger baiser à Stéphanie pendant que la Directrice écrivait des formules au tableau. Un tout petit baiser. Un baiser léger comme
un papillon. Juste de quoi patienter jusqu'au soir, quand dans l'obscurité des
chambres sous les toits elles pourraient se donner à leur passion...
Comme si elle avait eue des yeux dans le dos, la Directrice s'était retournée
vers la classe au beau milieu d'une équation...
En un éclair elle avait compris la scène et se sentit obligée de sévir
immédiatement afin d'éviter que d'autres filles suivent l'exemple. Il y avait
plusieurs 'amitiés' dans cette classe, cela se sentait cela dès qu'on y
entrait: il y avait toujours comme de l'électricité dans l'air. Raison de plus
pour mettre le holà...
Sa voix froide fit frissonner les coupables:
"Mesdemoiselles Florence et Stéphanie, devant la classe."
Rougissant les deux adolescentes se levèrent lentement et s'approchèrent du
tableau.
Brutalement la Directrice tira Stéphanie sur l'estrade, la mettant le dos
contre le tableau vert. Puis elle s'adressa à Florence:
"Vous, à genoux devant votre amie, le derrière vers la classe." Tremblant de
peur et de honte, la jeune fille s'exécuta.
"Les mains par terre."
Son derrière, pris dans la jupe à plis grise, pointait vers la classe. Ses
jambes étaient couvertes de chair de poule.
"Vous aviez envie de vous cajoler? Petites dévergondées. Vos hormones vous
tourmentent ? Ce n'est pourtant pas le printemps, que je sache. Je vais vous
apprendre à jouer vos petits jeux en classe. Où vous croyez-vous?"
Dans la classe on pouvait entendre voler une mouche. La Directrice avait la
réputation d'être horriblement humiliante quand elle punissait en public.
Qu'allait-elle inventer cette fois-ci? Déjà l'école ne supportait pas que les
filles se promènent bras dessus, bras dessous, sur la cour de récré, alors un
baiser en pleine classe...
"Je vais vous punir toutes les deux. Si votre attitude pendant votre
correction est satisfaisante, je pourrais peut-être oublier de faire une note
pour vos parents..."
La Directrice lança un regard circulaire sur la classe pour s'assurer qu'elle
avait toute l'attention. Puis elle se baissa, prit l'ourlet de la jupe de
Florence et la lui releva, exposant sa culotte blanche.
"Oh Madame la Directrice, s'il vous plaît... Je regrette ce que j'ai fait... S'il
vous plaît, ne... ne faites pas ça..."
Mais la Directrice, n'écoutant pas les protestations, se pencha à nouveau et
d'un geste sec lui baissa la culotte sur les genoux.
Florence était une jeune fille élancée et mince, et avait un derrière à
l'avenant. Toutes les filles pouvaient constater que ses fesses étaient également couvertes de chair de poule. Elle serrait les cuisses mais entre ses
fesses musclées ses condisciples pouvaient voir l'entrée fripée et rose de son
anus. En dessous de cela, la forme enflée de sa vulve encadrait les lèvres qui
luisaient.
Se sentant découverte, exposée à toute la classe, Florence se mit à sangloter.
"Ouvrez les jambes!" lui intima la Directrice d'une voix cassante.
Florence s'exécuta et écarta les genoux aussi loin que sa culotte lui permit.
Ses grandes lèvres ressemblaient à deux coussinets de chair qui encadraient
l'ouverture du vagin. De fins poils blonds, à peine visibles, soulignaient la
jeunesse de la propriétaire du sexe.
"Maintenant, Mademoiselle, vous allez retirer la culotte de votre amie - je
suppose que ce n'est pas pour vous déplaire?"
Florence aurait voulu disparaître sous terre... Elle couina comme si la
Directrice l'avait frappée.
"Mais vous allez le faire avec vos dents..."
Un brouhaha s'éleva de la classe.
"Silence! Ou vous viendrez prendre le place de Mademoiselle Florence!"
La Directrice continua à l'intention de Florence:
"Pour vous activer vous aurez un coup de cravache toutes les 10 secondes.
Commencez... maintenant !".
Un sifflement, un bruit sec, et la de cravache dessina une ligne rouge en
travers des fesses nues de l'adolescente.
Celle-ci s'écria de douleur et avança vers le ventre de sa copine,
s'esquintant les genoux sur le bois rugueux de l'estrade.
En classe dix-sept paires de yeux étaient gluées aux fesses torturées.
Personne ne restait indifférent devant cette scène d'une obscénité rare. Le
but était d'associer l'affreuse humiliation, ainsi que la douleur de la
cravache, aux jeux sexuels, pour que les filles comprennent le message: pas
d'amourettes dans l'Institut Ospif.
Sans que la Directrice eut besoin de lui dire, Stéphanie avait mis les mains
derrière le dos et attendait se qui allait se passer. Elle n'osait pas
regarder la classe, rouge comme une tomate bien mûre. Quand les fesses de
Florence avaient reçu leur premier coup de cravache, elle aussi avait ressenti
une douleur aiguë dans son derrière, comme par sympathie avec son amie.
Déjà le deuxième coup de cravache fit crier Florence et aussitôt une deuxième
marque rouge vint s'ajouter, parallèle à la première.
Morte de honte, Florence passa la tête en dessous de la jupe de son amie,
frolant ses jambes nues.
Quand sa tête dessina une protubérance monstrueuse dans le tissu gris, la
tension monta d'un cran dans la classe. A ce moment-là, plusieurs fille
auraient aimé être à la place de Florence, même au prix d'un derrière en feu...
Des mains disparurent discrètement en dessous des jupes, des cuisses se
serrèrent, puis se relâchèrent, puis se serrèrent à nouveau. Ginette, les bras
croisés devant sa poitrine, se caressait discrètement les seins à travers son
chemisier. A la dernière rangée Régine, le ventre rentré, avait apparemment
les mains sagement sur le dos, mais sa main droite disparaissait entièrement
dans sa culotte, invisible pour la Directrice...
Le troisième coup de cravache, donné sur le haut des cuisses, projeta Florence
en avant, son nez cognant douloureusement contre le pubis de son amie. Cette
fois-ci Stéphanie cria aussi. C'eût le don d'exaspérer la Directrice qui lui
asséna de sa main gauche une formidable claque sur les fesses, la propulsant à
nouveau contre le visage de Florence. Celle-ci, dans l'obscurité sous la jupe,
enivrée par l'odeur intime de son amie, se mit fiévreusement à la recherche de
l'élastique de la culotte. Elle ne le trouva pas car la taille de la jupe
descendait plus bas sur les hanches que la culotte. Alors elle mit ses dents
dans le coton et tira de toutes ces forces, secouant la tête, comme un chien
qui a retrouvé sa pantoufle préférée.
Malheureusement, elle avait aussi agrippé quelques poils et était en train de
les arracher. Stéphanie cria de douleur, et instinctivement bascula son bassin
en arrière. Un nouveau coup de cravache stimula Florence qui repartit à
l'assaut, la bouche grande ouverte. Elle rencontra une résistance et ferma les
dents dessus, décidée de ne plus lâcher prise: ses fesses étaient en feu.
Mais dans sa hâte d'échapper à la morsure de la cravache, elle n'avait en
bouche pas seulement la culotte de coton, mais aussi une bonne bouchée du sexe
de son amie. Stéphanie hurla de terreur quand elle sentit les dents se
refermer sur sa chair intime et perdit le contrôle de sa vessie. Le liquide
chaud inonda le visage de Florence et coula sur son chemisier d'école.
Surmontant son dégoût, elle rajusta sa prise et se mit à tirer la culotte
trempée le long des jambes de son amie. L'odeur d'urine la troublait. La
culotte avait maintenant un goût salé et glissait mal. Plusieurs fois elle
lâcha prise et dut recommencer.
L'urine coulait toujours en un petit filet et faisait un bruit écoeurant sur
le bois de l'estrade, éclaboussant les bas blancs de Stéphanie et les genoux
de Florence.
Florence parvint à glisser la culotte jusqu'aux chevilles. Quand Stéphanie
leva un pied puis l'autre, Florence put enfin se redresser, toujours à quatre
pattes, le derrière strié de marques rouge pointé vers la classe. Dans la
bouche elle tenait la culotte encore tiède, dégoulinante d'urine, comme un
chien de chasse qui apporte le lièvre encore chaud à son maître.
Pour punir Stéphanie d'avoir uriné en public la Directrice lui releva la jupe
sur le ventre et lui asséna un terrible coup de cravache en travers du pubis.
Sous la douleur fulgurante Stéphanie tomba à genoux et se remit à uriner en de
long jets. Ce fut l'instant que choisirent plusieurs filles pour atteindre
leur paroxysme et la classe fut secouée de gémissements difficilement étouffés.
La Directrice fit mine de ne s'apercevoir de rien, pour ne pas avoir à punir
toute le classe. Mais elle nota mentalement qu'elle devrait surveiller cette
classe de très près...
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (novembre 2000)