La directrice de l'institut Ospif (4) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice"
Episode 4: "Agnès triche à l'examen."
"Vous là-bas, au dernier rang... Oui, vous! Venez ici, devant la classe."
La tête rouge comme une pivoine la fille se leva et vint vers moi. C'était une adolescente au corps gracieux et aux longs cheveux blonds qui encadraient un visage de salope précoce.
"Votre nom?"
"Michaud, Agnès, Madame la Directrice."
Elle était tout penaude, les mains bien sagement derrière le dos. Je lui intimai :
"Montez sur l'estrade. Maintenant, tournez-vous vers la classe." Puis je m'adressai aux autres élèves:
"N'essayez-pas de profiter de cette distraction pour regarder la feuille de votre voisine. Vous continuerez votre examen d'algèbre tout à l'heure. Déposez vos plumes et regardez ce que je fais avec les tricheuses. Je ne tolérerai
aucune tricherie au Collège Ospif..."
On aurait pu entendre voler une mouche.
Je reprimai avec peine un sourire: ma réputation semblait solidement établie... Je dois y ajouter que je m'efforçais, par tous les moyens, de former des jeunes filles bien élevées et que je ne reculais devant rien, même pas devant des punitions corporelles. Il n'y a que le résultat qui compte, et s'il faut leur botter les fesses, eh bien, je leur botterai les fesses...
Je montai sur l'estrade, à coté d'Agnès, de façon à surveiller la classe pendant que je m'occupais de cette petite tricheuse. Sans élever la voix je lui dis:
"Maintenant, levez votre jupe."
Agnès était devenu si possible encore plus rouge. Elle ne bougea pas. Je fis un pas vers elle et cela suffit pour la motiver. Lentement elle prit l'ourlet de sa jupe à plis. Puis elle ferma les yeux et se mit à lever le tissu gris, exposant ses jambes devant ses amies ébahies.
Quand elle arriva à mi-cuisses la classe réagit, mais un regard suffit à arrêter les quolibets. Comme je m'en doutais, la douce demoiselle Agnès avait les cuisses gribouillées de formules de math...
"Plus haut!" lui intimé-je d'une voix autoritaire "Jusqu'aux hanches!"
Il n'y avait rien écrit sur sa culotte blanche, mais je voulus lui donner un leçon qu'elle et ses amies n'oublieraient pas d'aussitôt.
"Vous, mademoiselle Michaud, restez comme cela jusqu'à la fin de l'examen.
Vous autres, continuez!" intimai-je aux autres. Elles continuèrent leur concours.
Agnès restait immobile, de grosses larmes coulant sur ses joues. Ses mains tenaient sa jupe relevée au-dessus des hanches. Sa culotte d'un blanc immaculé attirait immanquablement le regard, et pendant la suite de l'examen je vis plusieurs jeunes filles jeter des regards tantôt furtifs, tantôt brûlants vers les jambes et le sous-vêtement exposé devant elles. C'était une culotte en
coton épais qui moulait son sexe avec une précision anatomique et sa blancheur fit encore mieux ressortir le renflement du pubis.
Je ressentis un agréable picotement au bas du ventre.
Ceci n'était qu'une partie de la punition. J'attendis que toutes les filles
aient remis leur feuilles avant de poursuivre mon châtiment.
D'abord je lui fis rouler sa jupe de façon à ce qu'elle tienne d'elle même
autour de ses hanches.
"Les mains dans la nuque. Baissez-vous!" A regret elle se pencha en avant.
"Prenez vos chevilles en main!"
Elle se pencha encore plus, le visage à hauteur des genoux, son postérieur bien rond.
"Ecartez les pieds! Plus loin!"
Je pris place derrière elle et d'un geste sec je lui baissai la culotte sur les genoux.
J'avais devant moi son sexe d'adolescente, surmonté de l'oeil sombre de son anus. J'enfouis un doigt dans l'ouverture du sexe pour le lubrifier. Elle gémit à peine, de peur de représailles. Son sexe était trempé, et je n'eus aucune peine à y mettre mon doigt en entier. Quand je le resortis, il était couvert d'un liquide visqueux et transparant que j'étalais sur son petit trou.
"Détendez-vous!"
Elle réussit à se décontracter et mon doigt s'enfonça d'un coup dans son rectum. Agnès eut un petit cri et son sphincter se serra involontairement autour de l'intrus. La sensation de son rectum qui enserrait mon médius comme un étau était exquise, mais je ne pouvais m'y attarder; déjà je vis en classe plusieurs mains disparaître sous les tables. Les filles ne pouvaient pas voir ce que je faisais parce que Agnès leur faisait face, mais à voir où mes mains étaient et à entendre les réactions de leur copine elles sûrent très bien quel genre de punition j'étais en train de lui faire subir.
La jeune fille leva la tête et se mordit les lèvres pour ne pas crier quand je me mis à bouger mon doigt dans son conduit étroit. En faisant un mouvement de va et viens rapide, je l'incommodais considérablement: elle devait être morte de peur d'avoir un "accident" devant les yeux de toute la classe.
C'est exactement la punition que je lui réservais.
Je pris dans ma poche un Microlax; c'est un petit tube, comme un tube de colle-tout pour modèle réduit, contenant un laxatif puissant. Depuis que j'étais directrice au Collège Ospif, j'en avais toujours un ou deux en poche.
Je retirai mon doigt, puis mis la mini-canule à sa place. En pinçant fermement, le contenu fut projeté dans le rectum d'Agnès. Puis je remis mon doigt, poussant le liquide au plus loin, afin de accélérer l'effet du laxatif.
Le sexe d'Agnès s'était ouvert et une bave claire coulait lentement le long de sa vulve.
A regret je lui remontai sa culotte, prenant soin de la remettre bien en place. Puis je fis un pas en arrière et dis:
"Relevez-vous. Les mains dans la nuque. Retournez-vous vers le tableau."
Elle s'exécuta, montrant son postérieur de coton blanc à ses camarades de classe, sa jupe étant toujours enroulée autour de sa taille.
Une fois retournée, elle me regarda, pensant probablement que sa punition était terminée.
"Ecartez vos pieds! Mademoiselle Agnès, vous allez rester comme cela pendant une demi-heure... Quoi qu'il arrive..."
et je m'installai à la table du professeur.
"Vous les autres, vous pouvez commencer à étudier vos examens de demain. Sans un mot, n'est-ce pas..."
Les filles prirent leurs livres et leurs cahiers, mais le coeur n'y était pas vraiment. Elles lancèrent toutes de plus en plus de regards vers leur camarade qui se trouvait en petite culotte devant la classe.
Puis la premère crampe se fit sentir. Agnès eut une horrible grimace. Petit à petit elle se rendit compte ce que j'avais réellement fait dans son derrière... A cause du mouvement de va et vient de mon doigt, elle n'avait pas
discerné le moment où j'avais injecté le contenu du tube dans son rectum. A présent le laxatif commençait à faire son effet...
Agnès ouvrit de grands yeux quand une nouvelle crampe lui tordit les intestins; cette fois-ci elle ne put éviter un léger vent d'échapper.
Plusieurs filles rirent, surtout de nervosité, mais un regard les calma.
"Madame la Directrice, je dois aller aux toilettes..."
"Mademoiselle Agnès, n'étais-je pas claire? Une demi-heure j'ai dit, quoi qu'il arrive... Il vous reste à peu près vingt minutes..." Là, je vis un début de panique dans ses yeux bleus. Elle se demanda si elle pourrait encore tenir
si longtemps. Une nouvelle crampe lui fit savoir qu'elle ne tiendrait même plus dix minutes. Elle se plia de douleur.
"Relevez-vous!" lui intimai-je. "Massez votre abdomen des deux mains, cela vous aidera à supporter les crampes."
Effectivement, après avoir frotté son ventre, la grimace disparut. Elle ne se rendait pas compte qu'au plus longtemps elle attendrait pour se soulager, au plus irrésistible cela serait; donc je l'encourageais de se masser le ventre et de se retenir - je savais très bien qu'elle ne pourrait jamais tenir jusqu'au bout!
"Madame, je vais..." puis elle se tut, sachant instinctivement que cela ne changerait rien, que je n'aurais pas pitié, et qu'elle ne pourrait pas éviter de se donner en spectacle honteux devant ses amies de classe.
Je sus que la fin était proche quand elle se mit à pleurer en silence; elle s'appitoyait sur elle-même, s'excusant vis-vis d'elle-même, en quelque sorte...
"Oh!" Quelqu'un en classe n'avait pas pu s'empêcher de s'éxclamer quand vingt paires de yeux virent bouger le fond de la culotte d'Agnès. Il eut à nouveau un vent et une forme se dessina dans le coton blanc, grandissant rapidement, accompagné de bruits très explicites: Agnès était en train de remplir sa culotte...
Puis le poids devint plus grand et la culotte s'ouvrit aux élastiques des jambes. Le fond de la culotte pendit entre les cuisses qu'elle avait écarté pour essayer de ne pas se souiller.
Agnès se mit à pleurnicher sans retenue, tandis que son rectum continuait de se vider.
J'envoyais Jocelyne au secrétariat: "Demandez à Madame Lenoce de vous donner une culotte en plastique taille adulte, car nous avons un grand bébé en classe... Et ramenez-moi aussi ma cravache..."
Moins de trois minutes plus tard elle était de retour, hors d'haleine, ne voulant pas rater l'humiliation de Agnès, et ne voulant pas risquer de me déplaire.
Avec un peu trop d'enthousiasme à mon goût, elle déplia et me tendit la culotte en plastique transparant.
"Vous allez la lui mettre, vous en tremblez d'envie!" lui dis-je. Elle rougit comme une pivoine, mais n'osa pas repliquer. Puis elle se pencha et tendit la culotte devant les pieds d'Agnès. C'est à ce moment que la masse chaude, poussée par une nouvelle crampe, s'engouffra entre les lèvres du sexe d'Agnès;
la jeune fille se mit à uriner sans retenue.
Je houspilla Jocelyne et elle réussit à mettre la culotte étanche à Agnès avant que la masse sombre ne se mette à couler. Il était temps car la culotte descendait lentement mais sûrement le long des hanches de l'adolescente et le fond pendait à mi-cuisses, béant des deux cotés.
Le coton n'était plus blanc mais des tâches sombres étaient apparues.
Dès que la culotte en plastique fut en place Agnès se remit à uriner et bientôt le fond étanche fut rempli de liquide jaune. Il était temps d'en finir.
"Mademoiselle Michaud, remettez vos sous-vêtements en place!"
A regret, Agnès tira sur sa culotte de coton pour la remonter. Bien entendu la masse gluante et chaude s'insinua partout; je vis même apparaître une tache sombre sur son ventre. Tant bien que mal elle réussit à remettre le vêtement, mais on aurait dit que son postérieur avait grossi de quelques kilos...
"Penchez-vous, agrippez vos chevilles!" Je pris la cravache et me mis à coté d'elle.
"Vous aurez dix coups de cravache. Si j'entends un son, j'y ajouterai cinq autres, est-ce clair?"
Elle acquiesça, soupira, puis se pencha pour agripper ses chevilles. Je la vis faire une grimace: en se penchant elle avait comprimé son entrejambes, provoquant un nouveau mouvement dans la masse nauséabonde; heureusement la culotte en plastique empêchait tout odeur d'empester le local de classe.
Je visai soigneusement, puis fis siffler la cravache dix fois. La douleur devait être très forte, car j'y avais mis toute ma poigne, mais elle ne cria pas, de peur de devoir en subir encore plus. Le pire était que chaque coup se propageait dans le mélange gluant retenu dans la culotte en plastique, pour s'introduire dans le moindre replis de chair, dans les endroit les plus
intimes...
Dans la classe, plusieurs filles choisirent les derniers coups pour achever de se caresser et jouir; j'en ai vu au moins quatre être prise d'une sorte de danse de St-Guy quand j'eus terminé le dixième coup sur le derrière couvert de plastique. J'aimerais bien savoir quels fantasmes elles vivaient: dans quel rôle se voyaient-elles? Dans celui du supplicié, ou dans celui du bourreau?
J'avoue que j'aimais beaucoup mon rôle et que ma culotte était plus que trempée quand je regagnais mon bureau à midi...
- fin de l'épisode -
Copyright: © Charlène O. (juin 2000)