La directrice de l'institut Ospif (1) |
Par Charlène O
Collection "La Directrice"
Episode 1: "Patricia, la tripoteuse."
Onze heures. Je venais de terminer ma correspondance. Comme directrice de l'Institut Ospif j'avais un secrétariat très efficace, mais il y avait certaines choses que je préférais faire moi-même. La correspondance en était une, l'administration de punitions pédagogiques en était une autre. Les jeunes filles qui s'inscrivaient dans notre Institut étaient averties dès le départ: "L'Institut Ospif se réserve le droit d'infliger des punitions corporelles s'il le trouve opportun, afin de guider l'étudiante dans la voie choisie".
La plupart d'entre elles devant être guidées à un moment ou à un autre, j'avais développé toute une série de punitions, allant de la simple réprimande, à la séance de cravache très douloureuse. Au fil des années j'avais appris qu'un juste dosage de douleur physique et psychique était la clé du succès.
Un derrière rouge d'une bonne fessée fait bien plus mal à l'amour-propre quand il se trouve exposé devant la classe...
Un coup discret sur la porte de mon bureau me fit lever la tête.
"Entrez!"
La porte s'ouvrit et Patricia, une élève de dernière année se présenta devant mon bureau.
Sans un mot, les yeux baissés, elle me remit une enveloppe. C'est la façon avec laquelle je communique avec certains de mes professeurs pendant les cours.
Je lus rapidement le message provenant de Madame Surreau, professeur de Biologie. "Cette petite pimbêche se tripote pendant mon cours, veuillez la corriger." Signé "Suzanne Surreau".
Elle n'en avait pourtant pas l'air, la petite Patricia. Avec ses long cheveux foncés encadrant son joli petit minois, il faisait plutôt penser à une petite sainte nitouche.
"Tendez la main."
Je lui pris la main et la renifla. Patricia rougit violemment.
"Vous vous conduisez comme une petit salope, hein. Eh bien, on va vous aider. Enlevez vos chaussures."
Elle s'exécuta sans broncher, la peur de ce qui allait suivre dans ses grands yeux bleus.
"Maintenant enlevez votre culotte et mettez-la sur le bureau."
Après une légère hésitation elle plongea les mains en dessous de sa jupe à plis et fit glisser son slip de coton blanc. Elle le froissa en une boule et le déposa sur mon bureau.
Je lui indiquai un petit banc recouvert de cuir – il faisait partie du fauteuil et servait à supporter les jambes une fois le fauteuil incliné.
"Couchez-vous là-dessus, sur le dos."
"C'est bien. Maintenant avancez un peu, que votre derrière dépasse du banc." Ses pieds reposaient bien à plat sur le tapis.
"Relevez votre jupe. Jusqu'au hanches."
J'étais toujours assise à mon bureau, et de là j'avais une vue imprenable entre ses jambes. Je sentis une bouffe de chaleur éclater dans mon ventre.
"Ecartez les genoux."
En voyant le sexe rose légèrement béant de l'adolescente j'aurais donné une fortune pour pouvoir plonger la tête entre ses cuisses musclées...
"Vous aurez dix coups de latte sur la vulve. Non, ne fermez pas les cuisses, ou j'augmente le nombre!"
Puis me vient une idée: comme la donzelle aimait se tripoter, elle allait pouvoir se tripoter...
Brutalement je lui demandai:
"Mademoiselle, combien de fois masturbez-vous par semaine?"
Patricia sursauta quand elle se réalisa la portée de ma question. Je dus la lui répéter une deuxième fois avant qu'elle ne murmure: "Six ou sept fois..."
"Donc tous les jours?"
Je devinais plus qu'entendais son "Oui".
"Bien, j'apprécie votre honnêteté. Maintenant vous allez vous caresser comme quand vous êtes seule, car après votre correction je crains qu'il vous faudra quelques jours avant de pouvoir toucher à nouveau votre sexe."
Patricia devint d'abord pâle, puis vira pivoine. Instinctivement elle avait fermé les cuisses. Alors je me levai et plaça deux tabourets devant elle: un de chaque côté. Puis je lui pris les jambes fermement, les ouvrit malgré la résistance et lui plaça les pieds sur les tabourets. Maintenant son entrejambes était exposée comme pour un examen gynécologique. Plus moyen de fermer les cuisses sans que ses pieds tombent des tabourets. Son regard me suppliait d'arrêter la punition mais je fis comme si je ne voyais pas son air paniqué.
"Mettez votre main droite sur votre sexe.
Caressez-vous. C'est cela. Maintenant humez vos doigts."
Elle ferma les yeux de honte mais fit quand même ce que je lui avais ordonné. Elle n'essaya même pas de jouer la comédie et de faire comme si c'était la première fois. Sa main redescendit vers son ventre.
J'avais pris sa culotte qui traînait sur mon bureau et le renifla. Elle ne devait pas être loin de l'aboutissement quand Madame Surreau l'avait interrompue, à sentir son sous-vêtement. J'y regardai de plus près, et comme j'avais anticipé, une large couche de sécrétion blanchâtre tapissait le fond de son slip.
"Vous allez mettre votre majeur gauche dans votre rectum, mais mettez-y d'abord de la salive..."
Patricia, toujours les yeux fermés, mit son doigt en bouche, puis, après une courte hésitation où ses dernières inhibitions tombèrent, elle se contorsionna légèrement pour atteindre son anus par le dos.
Elle poussa un léger soupir, puis lentement, millimètre par millimètre, enfonça son doigt dans son rectum. C'était une vue hautement érotique et j'en profitais que l'adolescente avait les yeux fermés pour glisser une main en dessous de ma robe et de me frotter rapidement le sexe à travers ma culotte.
L'autre main de Patricia s'était mise au travail et du bout des doigt elle titillait allègrement son clitoris, n'interrompant le mouvement circulaire que pour puiser du lubrifiant dans l'ouverture de son vagin.
Sa respiration se fit haletante: cette fille était bien rodée aux plaisirs solitaires. Le doigt dans son anus allait et venait lentement; à chaque fois elle l'enfonçait le plus loin possible, puis le retirait entièrement pour ensuite recommencer le même manège.
Je lui pris la main gauche et lui arracha le doigt de son rectum. Puis je lui mis le doigt légèrement brillant devant le nez. C'est comme si je lui avais injecté l'un ou l'autre dopant, car elle se mit à respirer rapidement, la bouche grande ouverte, une sorte de râle émergeant du fond de ses poumons. L'orgasme ne se ferait plus attendre longtemps.
Je lui mis le doigt contre ses lèvres et d'elle même elle l'engouffra et se mit à le lécher en lui donnant un mouvement de va et vient comme elle avait fait dans son rectum. Sa respiration devint sifflante. Sa main droite menait un ballet effréné dans son sexe trempé. Ses poils collaient ensembles en un magma odorant. Patricia bougea son bassin avec de petite secousses, mimant un coït bestial.
Je dus faire un effort surhumain pour me dominer, et pour me tenir prête. Je l'enjamba de façon à me trouver face à la fourche de ses cuisses, le dos vers elle. Puis son orgasme se déclencha. Elle se cabra, s'arrêta de respirer, tendit son corps en un arc de cercle, son ventre nu venant délicieusement frapper mon entrejambes. Elle retira la main de son sexe maintenant hypersensible et voulut fermer les cuisses pour mieux cuver et prolonger sa jouissance, mais je l'en empêcha et de toutes mes force j'abattit la latte de plastique souple sur sa vulve.
L'effet de la douleur mélangé à l'orgasme fût si fort qu'elle perdit connaissance pendant quelques secondes. Puis j'abattit la latte une deuxième fois. Cette fois-ci elle se mordit la main pour ne pas crier.
Lors du troisième coup le latte n'était pas bien à plat ce qui fait que le bord coupa douloureusement
dans les lèvres de son sexe. Patricia se tordit de douleur et vint se coller à moi, entourant mes hanches de ses bras, frottant son visage contre mes fesses. Un instant je m'imaginais être nue, la tête de l'adolescente enfouie entre mes fesses...
Un peu par frustration le quatrième coup visa le sexe bien à plat. Le coup était si fort que les lèvres furent blanches pendant quelques instants, tout le sang ayant été repoussé. Le clitoris pointait entre les plis de chair quand j'abattit la latte une cinquième fois. C'en était trop pour Patricia: elle se mit à uriner sans pouvoir se retenir. De puissants jets rythmiques jaillirent d'entre les lèvres malmenées. Je me mis à frapper le plus rapidement que je pus, éclaboussant son bassin chaque fois que la latte s'abattit sur le sexe d'où l'urine continuait à gicler en longs jets.
Je lâcha la latte et plaqua ma main sur sa vulve. Je sentis sous mes doigt le liquide brûlant jaillir et le frotta sur ses fesses, sur son ventre, sur son anus. Je ne pus m'empêcher d'enfoncer un doigt dans
son sexe. Le conduit vaginal était brûlant et serrait mon doigt comme un gant. Puis je m'aventurais entre ses fesses et trouva le renflement de son anus, trempé comme le reste. Retenant avec peine un cri de pure jouissance érotique je sentis le muscle du sphincter se relâcher pour me permettre de le pénétrer.
Quand je regardais entre ses jambes je vis que Patricia avait recommencé de se caresser, mais plus prudemment que la première fois. L'excitation sexuelle du premier orgasme masquait encore la douleur de son sexe torturé. Une fois cette anesthésie tombée, sa vulve serait horriblement douloureuse pendant plusieurs jours. Je la laissais donc faire, me délectant du rectum palpitant autour de mon doigt.
Puis il se passa quelque chose de totalement imprévu: comme un zombie Patricia mit la tête sous ma robe! Je dus mordre sur mes lèvres pour ne pas l'encourager de vive voix. Mais ce n'était pas nécessaire: elle n'avait pas besoin d'encouragements. Sa main gauche file aussi en dessous de ma robe et je sentis qu'elle m'arracha la culotte, la faisant glisser le long de mes jambes au plus loin qu'elle le put avec mes jambes écartées autour de son torse. Puis sa main se plaqua sur mon sexe trempé. Je crus défaillir. J'étais mouillée comme si j'avais fait pipi. Patricia, sans arrêter de se caresser de la main droite, se mit à frotter rapidement sa main gauche sur mes lèvres. Je ne masturbais jamais ainsi et cette sensation d'être caressée par quelqu'un d'autre était sublime. Je sentis mon orgasme approcher. Elle dut le sentit aussi, car je l'entendis dire "Laissez-vous aller, s'il vous plaît."
Puis elle plaqua sa bouche sur mon anus et se mit à titiller le muscle hypersensible du bout de sa langue. Je partis comme une fusée. Je me sentis devenir légère - je n'étais plus qu'un sexe en train de jouir. Je goûtais mon sang, ayant mordu sur ma lèvre pour ne pas crier. Puis, sentant que Patricia accélérait, je relâchais mes muscles et senti bientôt l'urine chaude couler le long de mes jambes. Comme je l'avais fait chez elle, l'adolescente se mit à disperser le liquide brûlant sur ma vulve et sur l'intérieur de mes cuisses. Je continuais à jouir si longtemps que j'urinais; elle jouissait aussi...
Il va de soi que depuis cette mémorable "correction", j'ai dû punir Patricia régulièrement...
Charlène O.
Bonne continuation,
Ch.