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Allie et Nicole (20)
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Adaptation française par Perverpeper le 22/05/10

 

 

F/f F+/f F+/f+ exhibition ados uro BDSM esclave lycée humiliation réticence.

 

Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Annie the slick" que j’ai trouvé sur le site "BdsmLibrary" : (http://www.bdsmlibrary.com/stories/author.php?authorid=292)
Elle y a publié deux autres textes : "Modern Maid" et "L.E.Z. – The Lesbian Sorority".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans l’autorisation formelle de l’auteur.
Si cette adaptation vous intéresse et que vous souhaitez lire les autres histoires d’Annie en français, veuillez me contacter à l’adresse suivante : perverpeper@ifrance.com (ou bien sur mon site : http://www.perverpeper.com).

Dans l’attente de vos réactions et commentaires…

PP

 

Synopsis : Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par sa baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. La pauvre Allie sera humiliée, forcée à satisfaire sa nouvelle maîtresse de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.

 

Allie et Nicole Chapitre 20a : En attendant le grand jour.

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Avec :

Lauren Jacobs : Fiancée de Tawnee Cantrell
Allie – Oh, pauvre Allie, comment tenir le compte de tous ces sexes.
Alex Jacobs : Belle-mère de Lauren
Tawnee Cantrell : Fiancée à Lauren Jacobs
Isis – Une heroine, bienfaitrice d’Allie ?
Coquette : Femme de chambre particulière de Lauren

Trop d’évènements qui se produisent dans un laps de temps trop court.

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— Allie, est-ce que tu t’es déjà servie d’une arme à feu ? Demanda Isis en regardant l’adolescente viser les cibles exposées au fond du sous-sol de la batisse.

— Non M’dame. Répondit la jeune fille.

Isis ôta la sécurité du revolver, le chargea, visa, tira et réenclencha la sécurité.

Allie l’imita et tira à son tour sur la cible, jouissant d’un sentiment de pouvoir inconnu jusqu’alors.

Dès le début, Nicole avait pensé qu’Isis lui inspirerait confiance. Elle avait intrigué auprès de la diablesse rousse pour qu’elle abuse de la naïveté d’Allie. D’autre part, Isis avait promis qu’elle se profiterait des talents de l’adolescente, ce qui était un bon moyen de s’assurer qu’Allie respecterait la règle n°4.

BANG!  BANG!  BANG!

C’était le meilleur moment que vivait Allie depuis près d’un an et demi.

BANG! BANG!  BANG!  BANG! BANG!  BANG!

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— Non non et non, stupide garce !

Alex se releva et gifla la couturière.

— Où est-ce que tu as appris à faire ton putain de travail ?

Lauren se tenait debout sur une estrade, elle portait une robe blanche de mariée qui la serrait à la taille et mettait ses petits seins en valeur. Le dos du vêtement était à moitié rabattu sur ses reins et l’ourlet, qui traînait par terre, recouvrait ses chevilles.

— Elle doit avoir l’air d’un ange ET d’une pute ! Hurla Alex.

Subitement, elle se calma et sourit avant de continer d’une voix douce pleine de malice.

— Je veux que tout le monde la considère comme la plus jolie chose de la soirée, mais aussi qu’il n’y ait aucune ambiguité sur le type de contrat qui uniera nos deux familles.

Elle se retourna face à sa belle fille.

— Ce sera la pute la plus chère de la soirée, elle vaudra des millions, mais elle restera toujours une putain…

Elle sourit à nouveau.

— Et je suis son maquereau.

Elle fixa à nouveau la couturière qui tremblait de peur.

— ET IL EST HORS DE QUESTION QU’UNE DE MES INVITÉES AIT LE MOINDRE DOUTE LÀ-DESSUS ! Découvre mieux ses jambes, son décolleté et son dos. Mets-lui des gants et un voile plus grand. Cette robe devra être ton ultime création, ta plus belle œuvre. Tu n’auras plus jamais l’opportunité d’en créer une comme celle-là. Une parure qui marie aussi bien l’innocence et le vice.

Et elle partit dans un grand éclat de rire qui résonna comme celui d’un ténor.

Lauren remua la tête lentement, incapable de pronnoncer le moindre mot à travers le baîllon boule qui obstruait sa bouche. Ses pieds, légèrement écartés, étaient fixés à l’estrade par des bracelets en cuir et ses mains étaient attachées dans son dos.

Elle était réduite à l’état d’un mannequin de chair, un modèle obscène maintenu en place par la longue tige en métal froid qui penetrait d’une douzaine de centimètres dans son rectum (sa fleur vaginale devant absolument rester vierge jusqu’au mariage).

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— Demain, tu te gouinera avec Lauren. Déclara Isis langoureusement.
Allie était agenouillée entre ses cuisses et embrassait amoureusement son sexe après lui avoir procuré un nouvel orgasme.

Comment sait-elle ça ? Se demanda Allie.

Comme si elle avait lu dans ses pensées, Isis poursuivit :

— J’ai un sixième sens pour ces choses-là, fais-moi confiance.

Elle se pencha et attira délicatement l’adolescente vers elle.

— Tu devras la convaincre qu’elle doit absolument se marier, la cérémonie doit avoir lieu, notre projet est bouclé et tout changement serait désastreux.

— Mais Isis, je ne peux pas lui dire ça, elle ne m’écoutera jamais.

— Allons Allie, tu seras notre agent de terrain. Il n’y aura que toi auprès de Lauren et ta mission sera de t’assurer qu’elle s’engage bien dans cette union.

Allie repensa alors à Lauren, elle se sentit proche d’elle, malgré les conditions dans lesquelles elle s’étaient recontrées. Sans savoir pourquoi, elle acquit la conviction qu’elle allait faire son possible pour la convaincre.

— D’accord Isis, je ferai en sorte qu’elle se marie.

— On la libérera pendant la réception, et toi aussi.

Éperdue de reconnaissance, Allie la remercia en l’embrassant passionnément sur les seins.

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Coquette était toujours au service personnel de Lauren. Rapidement, la jeune fille s’était habituée à être réveillée par la langue de sa servante. Elle ne se formalisait plus et commençait même à apprécier certains aspects de ce dorlotage. Les soins que la bonne déployait pour l’habiller, la coiffer, la faire belle et la façon qu’elle avait de la traiter comme une princesse n’étaient pas si désagréables.

Une princesse lesbienne, mais une princesse quand même.

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— Ahhh Allie, je suis si contente de te savoir bientôt de retour parmi nous. Tu es sans conteste la meilleure de toutes les salopes que j’ai louées jusqu’à maintenant et, manifestement, tu es très fière de tes talents.

Alex adorait le spectacle qu’offrait l’adolescente en se tortillait timidement devant elle. Elle était tellement impudique dans sa tenue qu’elle prit plaisir à la faire attendre devant la maison.

On avait exigé qu’elle soit vêtue d’un petit débardeur et rien d’autre. Elle se tenait maintenant sur le pas de la porte d’entrée de la maison des Jacob, s’abstenant de dire le moindre mot, sachant que Maîtresse Alex aimait la voir comme ça, embarrassée.

— Bien, tu peux entrer. Finit par dire Alex, presque à contre-cœur.

Elle claqua vigoureusement les fesses de l’adolescente lorsqu’elle passa devant elle.
Une fois à l’intérieur, Allie se rendit compte de l’agitation qui regnait en vue du mariage. On était vendredi, et le grand moment était prévu pour le samedi. Bien entendu, Nicole et elle faisaient partie des invitées. La répétition du dîner devait avoir lieu le soir même et il y avait au moins six servantes qui s’affairaient en nettoyant, en déplaçant les meubles et en préparant la salle à manger pour la cérémonie.

— Le grand jour approche. Déclara Alex. Ma petite Lauren va se marier. J’ai vraiment de la chance, perdre une fille n’est rien en comparaison du gain d’une belle-fille.

Une femme portant un gros classeur s’approcha. Elle dévisagea Allie des pieds à la tête avec un regard désaprobateur. C’était elle qui était en charge des préparatifs du mariage.
Ignorant Allie, Alex lui donna quelques indications supplémentaires. La jeune fille resta derrière la maîtresse de maison, se sentant plus que nue avec son petit débardeur.

Lorsque la femme fut partie, Alex ordonna à Allie de la suivre jusqu’à la terrasse qui surplombait les jardins. Plusieurs femmes y étaient attablées, toutes vêtues de tenues de soirée. Le cœur d’Allie s’accéléra. De dos, Lauren était assise parmi elles.

Toutes levèrent les yeux lorsqu’Alex s’approcha.

— Lauren ma chérie, je t’ai loué une pute. Tu pourras profiter de ses services cet après-midi et ce soir, une sorte d’enterrement de vie de jeune fille.

L’assemblée s’esclaffa. Lauren se retourna et resta bouche-bée en reconnaissant Allie.

— Allez, danse donc ma fille, déballe-nous ta marchandise. Tu m’as coûté suffisamment cher…

Elle poussa l’adolescente au centre de la terrasse et la fit pirouetter devant ses invitées.

— Comme vous pouvez le constater, mesdames, cette petite salope porte un cadenas sur le clitoris, n’est-ce pas merveilleusement pervers ?

Tous les regards se fixèrent sur le bas-ventre où le petit cadenas dépassait obscènement. Blasée, la jeune fille ne se formalisa pas, les humiliations qu’on lui faisait subir n’écornaient plus qu’à peine son amour-propre.

— Et son petit cul est tout simplement parfait, jeune, serré et ferme.

Puis elle la positionna dos à l’audience et agrippa ses fesses, les écartant largement. L’adolescente se laissa faire veulement, se faisant l’effet de n’être qu’un animal qu’on évaluait dans une foire à bestiaux.

— Et elle suce les chattes comme une pro. Elle ricanna. Hum hum, mais c’est vrai qu’elle est une pro.

— Allez jeune fille ! Dit-elle en s’adressant à Lauren. Fais-la monter dans ta chambre et amuse-toi avec elle. Cette pute n’est pas bon marché et je ne voudrais pas gaspiller l’argent qu’elle m’a couté.

Alex poussa Lauren pour qu’elle se lève, ce qui fit chuchotter les invitées, et lui donna quelques conseils obscènes sur la façon dont elles pouvaient se gouiner. Puis elle, d’un geste qui ne souffrait aucune contradiction, elle poussa les deux adolescentes vers la maison.

— Je viendrais vous voir dans quelques minutes pour m’assurer que tout se passe bien…

Rouges de honte, les deux jeunes filles échangèrent un regard. Allie avait pleinement conscience de sa nudité et suivit Lauren en montant l’escalier le plus rapidement possible.

Arrivées dans la chambre de la future mariée, elles faillirent buter contre une table qui avait été placée au milieur de l’entrée. Il y était posé trois choses : Un morceau de papier, un tube de lubrifiant et un godemichet. Surprises, elles restèrent figées un instant avant de pénétrer dans la pièce et refermer la porte.

Lauren s’empara du mot :

 

Chère Lauren,
J’espère que tu apprécies mes petits présents. Ce sont tes cadeaux d’enterrement de ta vie de jeune fille et je suis sûre que tu sauras les apprécier à leur juste valeur.
Je viendrais dans quelques minutes et je compte bien vous trouver en train d’utiliser à fond le godemiché.
Souviens-toi bien que tu dois rester vierge, ta petite fleur est réservée à Tawnee pour votre nuit de noces, mais j’autorise Allie à avoir des raports anals avec toi. Je sais combien tu aimes ça, Tawnee m’a touché quelques mots à propos de votre petite aventure avec ta monitrice de tennis, petite vicieuse.

Ta mère qui t’adore,

Alex

P.S. Je détesterais être obligée de vous fouetter toutes les deux si mes consignes n’étaient pas respectées.

 

Lauren eut une grimace de désespoir et tendit timidement le mot à Allie.

Allie le parcourut rapidement et la regarda tendrement.

— Je serai très douce Lauren.

Et elle attrapa le godemiché à pleine main. Elle ne s’était jamais trouvée de ce côté de l’engin. Jusqu’à présent, c’était toujours elle qui avait dû subir les pénétrations et cette nouvelle donne éveillait sa curiosité.

Lauren se dirigea vers le lit et s’y assit. Elle se tint immobile, le regard dans le vague. Pendant ce temps, Allie enfila la ceinture du gadget et assujettit étroitemement les couroies autour de ses cuisses et entre ses fesses. Elle baissa les yeux sur le sexe factice qui dépassait entre ses cuisses comme s’il était une extension de son corps. Elle éprouva un sentiment de pitié pour Lauren en pensant à ce qu’elle allait lui faire subir. Puis elle s’empara du tube de lubrifiant et vint s’asseoir à côté de la jeune fille.

— Il faut qu’on le fasse Lauren, tu as lu le mot. Je n’ai pas envie d’être fouettée encore une fois.

Elle appuya délicatement son épaule contre celle de la future mariée.

— Je sais Allie, mais Tawnee m’a déjà pénétrée plusieurs fois de ce côté la semaine dernière. Elle m’a sodomisée chaque fois qu’elle en a eu l’occasion avant de m’abandonner à mon triste sort. Elle leva les yeux sur Allie. Alors ça n’a rien à voir avec toi, c’est juste que je n’ai pas envie que ça recommence.

— Mais, tu ne l’as pas encore fait avec moi. Je suis sûre que je peux te donner du plaisir, même de ce côté.

Et elle se pencha sur Lauren et essaya de l’embrasser. La jeune fille eut un léger mouvement de recul et regarda Allie d’un air interrogatif. Elles restèrent immobiles un moment, se regardant dans les yeux. Puis le regard de Lauren s’adoucit, elle ferma les yeux, et tendit timidement ses lèvres à Allie. Elles s’embrassèrent tendrement.

Leur baiser dura quelques minutes, puis Allie souleva doucement la robe d’été et la fit passer délicatement sur la tête de Lauren. Celle-ci ne portait aucun sous-vêtement.

— Mets-toi sur le ventre.

Docilement, Lauren s’exécuta en surveillant nerveusement Allie du coin de l’œil.

— Je ne te ferai que du bien, Lauren. Simplement, fais-moi confiance.

Elle passa ses mains sous les cuisses de Lauren et les tira habilement vers le haut, faisant saillir son derrière. Les épaules plaquées contre le dessus-de-lit, Lauren se laissa passivement mettre en position et n’eut aucun mouvement de révolte lorsqu’Allie lui écarta largement les cuisses et se positionna entre elles, plaçant son bassin à proximité immédiate de ses fesses.

Avec une douceur infinie, elle posa ses mains sur chacune des fesses et les écarta largement, exposant le petit anus contracté à la lumière du jour. Puis, procédant par petites touches aériennes, elle titilla imperceptiblement la muqueuse du bout de la langue.

Surprise, Lauren poussa un petit cri et se mit à haleter silencieusement. C’était si sale, si vicieux… Personne ne l’avait jamais léchée à cet endroit.
Allie s’enhardit et se mit à lécher doucement le rectum palpitant, orientant tout doucement la pointe de sa langue vers le centre du muscle qui se crispait et se décrispait convulsivement. Petit à petit, elle prit possession de la totalité de l’endroit, s’attardant longuement sur la portion sensible entre la vulve et l’anus, n’ayant de cesse avant que ce soit ruisselant de salive. À aucun moment, elle n’eut de contact avec la vulve que l’écartellement des cuisses livrait sans défense à sa convoitise, se concentrant uniquement sur le petit anus qui se crispait de moins en moins.

— Détends-toi Lauren, ça sera meilleur.

Lauren s’appliqua à essayer de détendre ses muscles anaux, haletant de plus en plus fort. La langue d’Allie virevoltait, se posait, s’immobilisait à l’entrée de son petit trou, repartait, traçait un sillon humide tout autour. Celle-ci employait toutes les connaissances qu’elle avait acquises à déguster la petite pastille, la titillant, picorant, léchant comme s’il s’était agi d’un clitoris.

Elle sut qu’elle avait gagné lorsqu’elle sentit la main de Lauren cheminer entre ses cuisses pour atteindre son sexe.

perverpeper@perverpeper.com

 

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