Allie et Nicole (14) |
Adaptation française par Perverpeper le 28/02/10
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Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Annie the slick" que j’ai trouvé sur le site "BdsmLibrary" : (http://www.bdsmlibrary.com/stories/author.php?authorid=292)
Elle y a publié deux autres textes : "Modern Maid" et "L.E.Z. – The Lesbian Sorority".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans l’autorisation formelle de l’auteur.
Si cette adaptation vous intéresse et que vous souhaitez lire les autres histoires d’Annie en français, veuillez me contacter à l’adresse suivante : perverpeper@ifrance.com (ou bien sur mon site : http://www.perverpeper.com).
Dans l’attente de vos réactions et commentaires…
PP
Synopsis : Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par sa baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. La pauvre Allie sera humiliée, forcée à satisfaire sa nouvelle maîtresse de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.
Chapitre 14 : Allie rentre à l’école privée 2.
— Bonjour mesdemoiselles !
— Bonjour Madame Jones.
Dans un parfait ensemble, Allie et ses douze camarades de classe accueillirent leur professeur. L’adolescente n’était pas assise aussi confortablement que les autres élèves car elle portait son gadget anal. Cependant elle parvenait à s’habituer à sa présence devenue si habituelle. En fait, son bas-ventre et son entrefesse l’obstinaient en permanence, lui rappelant continuellement sa condition d’esclave soumise à sa Maîtresse.
L’école privée pour filles Trinité était fière du petit nombre d’élèves qu’elle affichait dans chaque classe ; cela permettait de garder une attention constante sur chaque écolière.
Leur professeur, Madame Jones, était une superbe blonde. Elle portait une paire de lunettes qui lui donnait un air très sérieux, un joli pantalon et un pull-over noir. Elle appréciait énormément son travail. Enseigner à ces jouvencelles lui apportait beaucoup de satisfaction. Parmi les différents cours qu’elle dispensait, celui-ci était son préféré : Le cours d’éducation sexuelle.
— Soyez les bienvenues dans mon cours, mesdemoiselles. Il s’agit du cours d’éducation sexuelle 2, si vous êtes enregistrées pour un autre cours, c’est le moment de le dire.
Madame Jones sourit à quelques-unes des filles qui, mal à l’aise, se tortillaient sur leur chaise.
— Ce cours traite de l’homosexualité et particulièrement l’homosexualité féminine, ou plus communément de lesbianisme.
Un long silence se fit dans la salle.
— Pour lesquelles d’entre-vous ce terme est-il familier ?
Sans réfléchir, Allie leva le doigt. Elle réalisa aussitôt qu’elle était la seule à l’avoir fait. Toutes ses camarades de classe se tournèrent vers elle, tandis qu’elle rougissait jusqu’à la racine des cheveux.
— Oui Mademoiselle Smith, vous pouvez nous donner une explication ?
Allie se dressa lentement et fit face à son professeur.
— Une lesbienne est une femme qui est attirée par les autres femmes, elle aime avoir des rapports sexuels avec d’autres femmes ou d’autres filles et elle se sert de godemichés pour satisfaire sa partenaire. Mais l’un des principaux moyens qui lui permet de satisfaire sa ou ses partenaires est de sucer leur sexe…
Elle fut interrompue par Madame Jones.
— Merci Allie, pour cette profusion de détails.
Elle sourit en regardant l’adolescente se rasseoir avec gêne. Le reste de la classe ricana ; des histoires avaient commencé à circuler à son propos. Elles semblaient trop grossières pour être vraies, mais, quoi qu’il en soit, il était trop amusant de se moquer des nouvelles.
Les joues d’Allie s’embrasèrent et ses yeux s’écarquillèrent lorsque le mouvement qu’elle fit pour se rasseoir fut un peu trop brusque et fit naître une décharge de plaisir douloureux au creux de ses reins.
Mais l’intérêt de Madame Jones avait été excité, elle aussi avait entendu les rumeurs qui circulaient à propos de l’adolescente, et se doutait bien qu’elles ne pouvaient être réelles. Franchement, ça n’était pas possible. En tout cas, elle entendait bien tirer ça au clair.
— Maintenant Mesdemoiselles. Continua-t-elle — Le propos de ce cours est de vous cultiver et vous apporter des informations sur d’autres pratiques et d’autres mœurs.
Elle arpenta les rangées de tables, tournant autour d’elles, observant ses élèves derrière leurs pupitres. La plupart d’entre elles semblaient gênées par le sujet du cours, mais elle remarqua qu’Allie ne semblait éprouver aucun embarras.
— Nous allons aborder différents types de relations sexuelles, à la fois classiques et "dominantes /dominées" ainsi que d’autres. Nous verrons comment ces rapports sont traités dans les médias et l’industrie pornographique. Nous consulterons différents supports, vidéos, livres ou tout autre représentation. La moitié de votre résultat final dépendra de l’exposé que vous présenterez à la fin du trimestre. Je vous laisse le choix du sujet que vous développerez.
Elle regagna nonchalamment la tête de classe.
— Aujourd’hui, nous nous contenterons de définir les bases. Elle sourit. — Pour bien comprendre le lesbianisme, il faut, bien entendu, comprendre comment est constitué le corps de la femme.
Madame Jones s’était bien rendu compte que 50 minutes ne lui laisseraient pas suffisamment de temps pour rentrer dans les détails comme elle l’aurait souhaité, mais elle avait préparé un diaporama sous PowerPoint à l’aide des dernières photographies qu’elle avait trouvé sur Internet. Chacune des photos était spécifique. Elles montraient sans détour les parties anatomiques du corps féminin dont elle avait besoin pour son cours, et l’enseignate avait pris soin de les mettre en forme dans une mise en page érotique.
Ainsi, les élèves de sa classe pourraient consulter des photos de mamelons en gros plan, mais aussi des tétons humides, ou bien portant des traces de rouge à lèvres. Il y avait aussi des photos de sexes montrant les détails de l’anatomie féminine sur lesquelles de jolies filles écartaient leurs lèvres intimes devant l’objectif ou inséraient leur index dans un simulacre de masturbation.
— A la fin de l’heure, elle ralluma les lumières sur une classe d’adolescentes stupéfaites.
— Voici pour l’introduction. Demain nous aborderons les techniques de langue basiques. Voici votre programme, remarquez que votre première interrogation aura lieu dans 4 semaines, donc vous avez du pain sur la planche. Je vous suggère de choisir une partenaire d’étude car la plupart des sujets de cette matière nécessitent des travaux pratiques.
La sonnerie retentit, annonçant la fin de la journée. Les filles se levèrent et quittèrent la salle de cours sans désordre.
— Mademoiselle Smith ! Dit alors le professeur au moment où Allie allait sortir.
— Oui Madame Jones ?
— J’aimerais que vous me consacriez quelques instants s’il-vous-plait.
L’adolescente attendit, debout à côté de sa table, pendant que les autres élèves s’en allaient. Durant tout ce temps, Miss Jones la fixa attentivement. Une fois que la salle de classe fut vide, elle alla à la porte et la ferma à clé.
— Asseyez-vous donc, Mademoiselle.
Allie allait s’asseoir derrière son pupitre lorsque l’enseignante l’interrompit.
— Non, non, ici, sur mon bureau s’il-vous-plait.
L’adolescente s’exécuta et s’approcha du bureau sur le coin duquel elle s’assit.
— Mais non ! Jeune fille. Ici, devant moi. Autrement, comment voulez-vous que je puisse vous voir correctement ?
Allie fit glisser ses fesses sur le bureau jusqu’à ce qu’elle soit positionnée en face de Madame Jones. Elle avait les jambes croisées et n’osa plus bouger, de peur que l’enseignante puisse voir sous sa jupe. Nicole lui avait interdit de porter sa culotte et elle avait passé la journée à redouter qu’une rafale de vent soulève sa jupe et exhibe ses fesses nues à ses camarades d’école. Sans compter que Miss Jones aurait pu découvrir son gadget anal par la même occasion.
— On dirait que tu en connais un bout sur cette matière non ?
— Oui… Je veux dire non… Je veux dire… Je ne sais pas M’dame. Répondit la jeune fille en s’emmellant les pinceaux.
— Alors jeune fille ! Qu’en est-il exactement ? Tu es homosexuelle ?
Demanda Madame Jones en ôtant ses lunettes et approchant son visage à quelques centimètres d’Allie.
L’adolescente était pétrifiée. On ne lui avait jamais posé la question aussi directement que ça auparavant. Elle avala tant bien que mal sa salive et répondit comme elle y avait été conditionnée, se réfugiant derrière sa confortable condition de soumise.
— Oui. Répondit-elle d’une toute petite voix.
— Je n’ai pas entendu !
— Oui Madame, je suis homosexuelle. Et elle se mit à pleurer silencieusement, toujours assise sur le bureau de son professeur.
Madame Jones sourit et plaça son bras dans le dos de l’adolescente.
— Ok, Allie, c’est bon. Tu sais, il y a beaucoup de lesbiennes dans le monde.
Comme la jeune fille relevait la tête, elle la regarda droit dans les yeux.
Allie renifla un peu et sourit timidement. Miss Jones en profita pour l’embrasser délicatement sur les lèvres.
— Il y a beaucoup de femmes qui aiment les femmes, Allie. Beaucoup.
Elle l’embrassa à nouveau en y mettant un peu plus de passion. L’adolescente gémit sans fuir la bouche de son professeur et rendit le baiser. Elle écarta légèrement ses jambes et ne se rebella pas lorsque la femme, beaucoup plus âgée qu’elle, s’avança et se glissa entre ses genoux. Elle en profita même pour crocheter ses genoux à l’aide de ses chevilles.
Encouragée, l’institutrice se colla contre son élève et l’embrassa profondément, langoureusement.
Progressivement, la petite jupe courte d’Allie remonta sur ses cuisses tandis que la prof pressait son corps contre le sien. L’adolescente ouvrit les yeux et poussa un gémissement à travers les lèvres de Madame Jones..
— Mmnnoonn…
Mais le son qui parvint aux oreilles de la femme ressemblait plutôt à un gémissement de passion. Elle accentua sa pression contre le corps de son élève jusqu’à ce que son pantalon entre en contact avec l’entrecuisse de l’adolescente. La jupe était maintenant entièrement bouchonnée sur la taille d’Allie et ses jambes étaient fermement croisées derrière les fesses fermes de l’enseignante.
Avant que la jeune fille réagisse, Madame Jones avait déboutonné le chemiser de son élève. Elle inséra la main dans le soutien-gorge qui s’offrait à elle.
— Non, s’il-vous-plait… Protesta faiblement l’adolescente lorsqu’elle sentit la main de sa prof entrer en contact avec son petit sein à la peau douce comme celle d’un bébé.
— S’il vous plait. Non… Se défendit de plus en plus faiblement l’adolescente.
Les doigts de Madame Jones firent connaissance avec l’anneau qui transperçait la chair tendre de son téton.
— Oooooh, mais tu es une petite fille vicieuse. Souffla l’enseignante en manipulant délicatement le piercing entre le pouce et l’index.
Elle continua à embrasser l’adolescente dont les protestations perdaient en intensité. Puis elle ôta sa main du soutien-gorge de l’adolescente et la glissa sous sa jupe. Avec râvissement, elle remonta le long des cuisses découvertes et trouva le sexe nu de l’adolescente. Ses doigts entrèrent en contact avec le cadenas qui ornait la fente de la jeune fille.
— Oh mon dieu ! Mais tu es réellement une petite gouine vicieuse.
Et, joignant le geste à la parôle, du bout des doigts, elle parcourut l’intimité d’Allie dont l’humidité trahissait l’excitation. L’enseignante s’amusa étaler le jus gras sur toute la fente.
L’attouchement fit haleter l’adolescente.
— Ce que tu peux être vicieuse… Tu es complètement trempée. Dit la prof en insérant le bout de son doigt à l’intérieur du sexe offert.
Elle fit une petite halte à hauteur de la première phalange, puis rapidement elle enfonça l’intégralité de son médius dans les chairs lubrifiées de sa jeune élève.
La violence du plaisir fit pousser un grognement profond à Allie.
— MMMMhhhh !!!! Sa prof d’éducation sexuelle était en train de viioler son initimité. — Oh Mon Dieu ! Dit-elle en criant presque.
En quelques minutes seulement, Madame Jones mena expertement l’adolescente au plaisir.
Ma parole, cette petite vicieuse est vraiment excitée comme une chienne. Se dit l’enseignante.
— Maintenant, jeune fille, il faut que tu me rendes la pareille.
Elle ressortit ses doigts du sexe imberbe de son élève et les lécha consciencieusement pour les nettoyer.
— Mmmm, tu as un goût super, viens jusqu’à mon bureau s’il te plait.
Elle aida l’adolescente à se remettre tant bien que mal sur pied et la guida jusqu’à son pupitre avant de fermer la porte de la classe.
— A genoux ! Dit-elle en pointant son index sur le sol, tout près de ses pieds.
Allie s’avança dans un état second. Son chemisier était ouvert jusqu’à la taille et sa cravate défaite pendait à son cou. Elle s’agenouilla aux pieds de sa prof.
— Baisse mon pantalon, espèce de petite pute.
L’adolescente tendit les bras en se pourléchant les lèvres. Au moins ça sera décompté des trois minettes par jour que je dois sucer. Pensa-t-elle. Elle détacha la ceinture de l’enseignante, dégraffa son pantalon et, d’un geste expérimenté, l’abaissa délicatement sur les chevilles de sa prof.
Madame Jones s’assit et attendit qu’Allie ait complèment baissé son pantalon. Puis elle regarda l’adolescente ramper entre ses jambes écartées. Visiblement, c’était une position qui lui convenait.
Elle mit son index sous le menton de l’adolescente et le souleva en disant :
— Regarde-moi, jeune fille, je veux voir tes yeux pendant que tu suceras ma chatte.
Allie leva les yeux et appliqua hermétiquement sa bouche contre le sexe de sa prof. Elle se mit à lécher en se concentrant sur son clitoris.
— Oh BORDEL, que c’est bon. Dit la femme en jetant sa tête en arrière, alors que l’adolescente léchait son sexe avec gourmandise. — Mon dieu, quelle petite salope vicieuse tu fais !
Des deux mains, elle plaqua de plus en plus étroitement le visage de son élève contre son sexe, au fur et à mesure qu’elle approchait de l’orgasme.
Allie n’arrivait plus à respirer convenablement. Elle tenta d’échapper à la poigne de son enseignante qui s’était mise à frotter violemment son sexe contre son visage en poussant des gémissements de plus en plus hystériques.
— Mmmmhhhh ! Oh ouiiii !! Uuuhmmm !!! Vas-y… ENCORE !!! AAAHHHH !!!
Elle agripa brutalement les cheveux de l’adolescente et la guida sans aucune concession jusqu’à ce que la jouissance la submerge, la faisant se tordre convulsivement contre la langue de la jeune fille.
Les spasmes semblaient durer éternellement pendant qu’Allie tentait vainement d’échapper à l’étreinte qui la plaquait contre le sexe détrempé de sa prof.
Finalement, celle-ci se détendit, relâcha Allie et reprit une respiration profonde.
— C’était génial, jeune fille, il faudra qu’on recommence ça demain.
Elle se leva et renfila rapidement son pantalon, puis elle força l’adolescente à se redresser et l’embrassa passionnément. Enfin, elle claqua ses fesses nues et l’entraîna hors de la classe.
— A demain, Allie.
— Bien Madame Jones. Répondit Allie qui reboutonnait son chemisier avant de s’éloigner.