Allie et Nicole (12) |
Adaptation française par Perverpeper le 27/02/10
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Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Annie the slick" que j’ai trouvé sur le site "BdsmLibrary" : (http://www.bdsmlibrary.com/stories/author.php?authorid=292)
Elle y a publié deux autres textes : "Modern Maid" et "L.E.Z. – The Lesbian Sorority".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans l’autorisation formelle de l’auteur.
Si cette adaptation vous intéresse et que vous souhaitez lire les autres histoires d’Annie en français, veuillez me contacter à l’adresse suivante : perverpeper@ifrance.com (ou bien sur mon site : http://www.perverpeper.com).
Dans l’attente de vos réactions et commentaires…
PP
Synopsis : Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par sa baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. La pauvre Allie sera humiliée, forcée à satisfaire sa nouvelle maîtresse de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.
Chapitre 12 : Une danse innatendue.
Nicole se tenait devant la porte d’entrée. Elle portait son pantalon noir en cuir serré et son chemisier blanc, attendant Allie pour partir. Finalement, l’adolescente sortit de la chambre. Elle portait une robe rouge très légère maintenue par de petites lanières aux épaules. C’était preque transparent et ça ne recouvrait qu’à peine ses fesses. En plus de la robe indécente, elle portait des escarpins rouges avec des talons d’une dizaine de centimètres et de petites chaussettes en dentelle assorties à son string. Le moindre mouvement exhibait son derrière à tous et à toutes.
— Allez, petite salope, n’oublies-pas que tu es l’attraction principale de cette fête. Dit-elle en flattant la croupe d’Allie qui passait la porte.
Elles traversèrent le centre ville en direction du Campus universitaire.
— Où va-t-on Maîtresse ?
Allie s’inquietait beaucoup de ce qui allait lui arriver cet après-midi. Nicole ne lui avait rien dit, seulement qu’elles allaient à une fête.
— Du calme, du calme, petite salope.
Nicole eut un sourire carnassier et lâcha à nouveau une bribe d’information.
— Bien, tu sais que tu doit gagner de l’argent pour me rembourser ta dette, alors j’ai proposé à un groupe universitaire. Je leur ai vendu un strip-tease. 500 €, pas mal pour environ deux heures non ? Et puis on pourra peut-être leur proposer quelques extras quand ce sera terminé.
Les yeux d’Allie s’écarquillèrent.
— Mais je ne peux pas faire ça. Dit-elle d’une petite voix effrayée.
— Bien sûr que si, j’ai tout arrangé. Ne t’inquiète pas, je serai là et je ne laisserai pas un seul de ces horribles garçons en chaleur te faire quoi que ce soit.
Nicole eut un sourire diabolique.
— En tout cas rien que je n’aurai pu te faire moi-même.
Le visage d’Allie devint pâle comme un linge. Durant les dernières semaines de sa vie, Nicole lui avait tout fait subir. Elle l’avait humiliée, l’avait obligée à lécher un nombre incalculable de sexes féminins, l’avait pénétrée par tous ses trous, l’avait forcée à tourner dans une séance de photos porno, l’avait attachée et livrée en patûre à un groupe de quinze femmes pour son anniversaire. Qu’allait-il lui arriver maintenant ? L’adolescente était vraiment effrayée.
Elles quittèrent l’autoroute et entrèrent dans le campus, se dirigeant directement vers les chambres d’étudiants.
Elle se garèrent dans une allée derrière les batiments et Nicole alla frapper à une porte latérale. Elle tenait fermement Allie par la main et l’adolescente frissonnait dans la fraicheur de la nuit, se tenant debout à côté de sa Maîtresse qui la dominait d’une bonne tête. Ses tétons pointaient à travers le tissu fin de la robe. Un souffle de vent souleva sa robe. Elle avait l’impression d’être nue et se sentait complètement exposée.
La porte s’ouvrit sur trois jeunes filles. Deux blondes et une brune qui se tenaient dans l’entrée en pull et Jean. Chacune d’entre elles tenait une biere dans sa main.
— C’est pourquoi ? Demanda la jolie petite blonde qui venait d’ouvrir la porte.
Nicole désigna du doigt sa soumise qui tentait de dissimuler son indécence et déclara :
— C’est la strip-teaseuse, elle a été louée par l’association des étudiantes de l’internat.
— Loupé. Vous êtes bien à l’association, mais c’est un garçon que nous avons loué pour le strip-tease de cette nuit.
— Zut, mon assistante a dû faire une erreur.
Bien entendu, la prétendue assistante n’existait pas et le plan de Nicole se déroulait exactement comme prévu. Il ne lui restait qu’à convaincre les filles d’accepter qu’Allie remplace le garçon.
— Ecoutez, voilà ce que je peux faire : Samedi prochain, je vous fournirai un stip-teaseur gratuitement. Mais, en attendant, qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire d’elle ?
Nicole pointa avec mépris son index, en direction d’Allie, par-dessus son épaule.
— Sa nuit était déjà organisée autour de ce spectacle, et il est trop tard pour lui trouver une autre soirée. Et vous les filles ! Vous ne voulez pas voir son spectacle ? Vous ne vous demandez pas ce que les garçons aiment chez nous ?
Puis, en chuchotant :
— Elle a un corps de rêve et, en plus, elle préfère les filles.
— Je ne sais pas. Attendez ici, on va demander aux autres.
Et les trois filles refermèrent la porte, abandonnant Nicole et son esclave dans le froid. Allie frissonna.
Dès qu’elles furent seules, l’adolescente s’approcha du dos de Nicole et attrapa son bras.
— Maîtresse, je ne peux pas me deshabiller devant ces filles. S’il vous plait, ne m’y obligez pas.
— N’importe quoi ! Tu n’es qu’une petite chienne en chaleur et tu t’en tireras très bien. Tu n’as qu’à imaginer que tu tentes de me séduire. Et elle ajouta d’un ton glacial qui fit frissonner l’adolescente de plus belle. — Et si ça ne fonctionne pas, souviens-toi bien que je te fouetterai jusqu’au sang si tu n’arrives pas à exciter toutes ces filles.
Les trois jolies jeunes filles revinrent.
— Vous pouvez nous promettre un strip-teaseur gratuit pour la semaine prochaine ?
— Le meilleur que je trouverai.
— C’est d’accord, vous pouvez la faire rentrer.
Nicole attrapa la sono portative que portait Allie et entraina son esclave à travers l’entrée. L’adolescente n’arrivait pas à y croire, comment pouvait-elle être devenue une strip-teaseuse lesbienne ?
Nicole l’abandonna au milieu du vestibule, à côté de la salle télévision et alla saluer ses clientes.
— Je sais que vous vous-attendez à un spectacle super sexy ce soir, alors j’en ai un pour vous. Je vous présente Allie la salope !
Elle appuya sur bouton de la stéréo et une musique tonitruante s’egrena à travers les hauts-parleurs au rythme des percussions sensuelles du morceau.
Puis elle glissa sa tête dans l’entrebaillement de la porte derrière elle et dit :
— Magne-toi esclave, tes admiratrices t’attendent avec impatience.
Elle garda la porte ouverte, ne laissant aucun autre choix à Allie que d’obéir. La jeune fille pénétra dans la pièce et fut accueillie par un concert de sifflets. Les étudiantes avaient consommé quelques verres en attendant le spectacle et, même si elles avaient attendu "Un strip-teaseur", elles accueillaient tout de même l’adolescente avec enthousiasme.
Une fois au milieu de la pièce qui faisait office de salle-télévision, elle commença à se contorsionner lascivement au rythme des basses qui faisaient vibrer le foyer. Elle faisait glisser voluptueusement ses mains sur son corps et à travers ses cheveux. Elle tournoyait sur elle-même et fit virevolter l’arrière de sa mini-jupe, ce qui lui valut quelques acclamations supplémentaires. Visiblement, les spectatrices appréciaient beaucoup.
Allie tenta de faire taire ses sentiments et d’oublier qu’elle s’exhibait devant une assemblée d’étudiantes en chaleur dont certaines étaient à peine plus âgées qu’elle. Un instant, sa conscience lui dicta de stopper tout et de s’enfuir en courant mais elle sentit le regard perçant de Nicole sur son dos, et la musique l’aida à oublier ces véléités de rebellion. De plus en plus impudique, elle continua à danser devant les trente filles.
La musique vida son esprit et elle se concentra sur le rythme, oubliant sa misérable condition. Une sorte de transe s’empara d’elle et elle se mit à onduler en prenant des pauses de plus en plus provocantes.
Ennivrée par la musique, elle dansa et tournoya en faisant glisser ses mains sur sa poitrine, massant ses petits seins dont les pointes étaient dures comme du bois. Brusquement, elle fit face à la foule et exhiba l’un d’entre eux, provoquant un concert de sifflements. L’adolescente en profita pour exhiber l’autre avant de pivoter sur elle-même, cachant son impudicité à l’assemblée surchauffée. Toujours de dos, elle fit glisser ses bretelles sur ses épaules et cacha sa poitrine derrière ses bras, avant de faire à nouveau face à ses spectatrices, les provocant de façon obscène, faisant glisser sa langue sur ses lèvres brillantes.
Puis elle écarta largement ses bras, fit glisser sa petite robe le long de son corps et découvrit son derrière à peine voilé par le string incrusté entre ses cuisses.
Elle oublia jusqu’à sa propre identité et s’identifia entièrement à son nouveau rôle. C’était comme si elle assistait à l’exhibition impudique d’une adolescente obscène et vicieuse qui lui ressemblait. Elle perdait peu à peu le contrôle de son corps, mais eut quand même la présence d’esprit de sourire en s’exhibant de plus belle.
Leur faisant face, elle commença à se pavaner, cachant ses petits seins nus derrière ses deux mains. Elle se contorsiona devant l’une des filles qui étaient au premier rang, une jolie petite blonde aux yeux bleus, s’accroupit devant elle et fit glisser très lentement ses mains, dévoilant une petite partie de sa gorge devant les yeux ébahis de l’étudiante qui s’écarquillèrent dès qu’elle entrevit les piercing.
— Oh mon dieu ! s’exlama la jeune fille alors qu’Allie se redressait et exhibait sa poitrine à la totalité des spectatrices.
— Elle a des piercing !
— Regardez ses tétons !
— Des anneaux !
Les exclamation fusaient, tandis que toutes les filles pouvaient remarquer la présence des petits anneaux qui traversaient les tétons. Elle regarda autour d’elle et vit que quelques unes des jeunes filles commençaient à respirer plus rapidement, visibement impressionnées par son exhibition. Un mélange d’odeurs de transpiration et de musc vint chatouiller ses narines. Un immense sentiment de fierté l’envahit lorsqu’elle réalisa l’impact qu’elle avait sur ces filles. Cette constatation ne l’aurait jamais effleurée quelques semaines plus tôt, mais aujourd’hui, elle en était fière. Elle réalisa qu’elle était en train de devenir la petite salope lesbienne que Nicole voulait qu’elle soit.
Elle se déplaça vers une autre des filles du premier rang. C’était une jolie rouquine et Allie ne pouvait empêcher ses yeux de se fixer ses magnifiques jambes mises en valeur par son pantalon en jean. Elle semblait vraiment captivée par le spectacle. L’adolescente s’approcha d’elle et ondula lascivement devant elle pendant un moment avant de se pencher sur elle, laissant ses cheveux recouvrir complètement le visage de la fille, plaçant ses seins à quelques centimètres de son nez.
— Est-ce que tu aimes mon odeur ? Chuchota-t-elle doucement à l’étudiante.
Elle fit quelques pas en arrière avant de revenir à la charge, effleurant le plus délicatement possible son nez avec le bout de ses seins. Elle chuchota à nouveau dans son oreille.
— Est-ce que tu mouilles ?
Elle sentit la respiration de la fille s’accélérer contre la chair humide de ses seins.
Puis, reproduisant les mêmes gestes, elle plaça fermement son décolleté contre le visage de la petite rousse, attrapant cette fois ci sa nuque pour rafermir sa position et écrasa le visage de la fille contre sa poitrine sans que celle-ci n’ait un seul geste de refus.
— J’ai envie de lécher ta petite foufoune.
Puis elle relâcha la tête de la fille et regagna le centre de la pièce en se contorsionnant de plus belle. Les autres acclamaient sa performance et se moquaient ouvertement de la petite rousse. Elle s’appelait Sue.
Elle baissa la lanière de sa culotte sur ses fesses, la laissant pendre par la ficelle du string prise entre les deux globes parfaitements ronds. Des spectatrices tendaient leurs mains vers elle désespérant de pouvoir toucher l’adorable fessier. Puis elle se mit à faire onduler son petit derrière poussant ses admiratrices au paroxysme de la frustration.
Se tournant face à elles, elle tira sur l’empiècement de sa culotte tout en jouant avec l’un de ses seins. Elle baissa les yeux et jeta un regard sur son sexe glabre, fit un clin d’œil au groupe d’étudiantes et relâcha l’élastique qui vint claquer sur son pubis en reprenant sa place.
Elle pivota à nouveau sur ses talons, présenta son dos à la foule et baissa lentement son string jusqu’à mi-cuisse. Puis elle leur fit face, exhibant son pubis imberbe, exposant sa fente mutilée par le petit bijou qui transperçait la peau délicate.
Toutes les filles se mirent à pousser des cris en aperçevant le piercing.
— Quelle salope !
— Waow, ça a dû lui faire mal.
— Oh mon dieu !
La culotte à mi-cuisses, Allie continua à danser un long moment, exhibant nettement son pubis tout lisse, sous lequel le petit bijou rebondissait à chaque mouvement de rein. Elle dansa un moment devant une petite blonde qui semblait presque plus jeune qu’elle, se redressa devant elle, écarta un peu ses jambes et lui dit :
— Baisse-le chérie.
La fille avala difficilement sa salive, mais ne fit pas un geste. Allie dut se pencher en avant et attraper la main de la jeune fille pour la placer sur le string minuscule étiré entre ses jambes écartées. Alors elle referma ses cuisses sur la main de la petite blonde et serra fortement. Les autres filles l’acclamèrent alors que la jeune fille gigotait et tentait de retirer sa main. L’adolescente s’empara fermement du poignet de la fille et fit remonter la main récalcitrante jusqu’à son bas-ventre. À nouveau, elle serra, se régalant du contact des petits doigts contre son sexe humide. Puis elle se mit à agiter son bassin d’avant en arrière, approchant petit à petit de l’orgasme. La fille était au bord de la panique. Cette espèce de salope de strip-teaseuse lesbienne se donnait du plaisir contre ses doigts devant toutes ses copines, et le pire était qu’elle commençait, elle aussi, à ressentir une certaine excitation. Les yeux clos, au bord de l’inconscience, Allie imaginait le regard de toutes ces filles braqué sur elle pendant qu’elle s’approchait à grands pas de l’orgasme. Cela la fit jouir avec une violence inhabituelle.
La musique s’interrompit et Allie relâcha la main de la fille. Elle fit un pas en arrière, se retourna, et quita entièrement sa culotte, donnant à l’assemblée un aperçu de son derrière admirable et elle se pencha en avant, procurant une vue imprenable de son sexe et ses lèvres trempées à la jolie petite blonde. Elle lui jeta son string et se dirigea d’un pas nonchalant vers la porte d’entrée sous un tonnerre d’applaudissements. Avant de sortir, elle eut le temps d’apercevoir la petite blonde tenir sa culotte du bout des doigts et la jeter derrière elle. Plusieurs filles se précipitèrent pour s’en emparer. Après une brève empoignade, l’une d’entre elles tendit fièrement à bout de bras le tissu rouge et humide déclenchant les applaudissements de ses copines.
Restée seule avec les étudiantes, Nicole s’avança vers le centre de la pièce et leur demanda si elles voulaient prolonger la représentation. Un concert d’approbations lui répondit.
Nicole alla ouvrir la porte et la fit revenir dans la salle de spectacle.
— Allie la salope est la meilleure suceuse de chattes de la ville. Je sais que vous êtes toutes hétéros les filles mais c’est votre seule et unique chance de l’essayer. Pour un petit billet de 50 Euros par tête, ou par chatte devrais-je dire, elle sucera toutes celles qui voudront l’essayer.
Allie se tenait à côté d’elle, entièrement nue. Elle attrapa la manche de Nicole et chuchota à son oreille :
— Je ne peux pas faire ça.
Nicole ignora ses plaintes.
— Si quelqu’un peut nous trouver un lit, on va pouvoir commencer.
Rapidement, plusieurs filles les précédèrent dans la grande bâtisse. Nicole trainait son esclave entièrement nue à travers la maison et la plupart des étudiantes les suivaient. Elles arrivèrent dans une chambre et Nicole y poussa l’adolescente.
— Ok, ma petite pute lesbienne, ça devrait nous rapporter environ 1000 € supplémentaires. Je pense qu’il y en a une trentaine qui sont intéressées. Si tu en suces une toutes les 10-15 minute, ça devrait se finir vers 4 heures du matin et nous pourrons être à la maison vers 5 heures.
Allie se résigna à son sort.
— Ok. Maintenant, à genoux devant le lit et je te les envoie une par une.
L’adolescente obéit et Nicole sortit dans le couloir pour organiser quelque peu la file d’attente.
La première fille à passer la porte était la jolie blonde qui leur avait ouvert la porte. Une fois la porte fermée, elle se débarrassa de son pantalon et sa culotte, s’assit devant Allie et écarta ses cuisses. Allie s’inclina entre ses jambes et commença à lécher son premier sexe de la soirée.
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Elle n’eut pas fini avant six heures du matin, 50 des étudiantes s’étaient décidées soit pour un essai, soit parce qu’elles avaient déjà des tendances homosexuelles. Allie était exténuée. Nicole la coucha dans le lit et la recouvrit avec une couverture. Puis elle descendit au rez-de-chaussée pour prendre un petit-déjeuner avec les étudiantes.
Allie resta étendue dans le lit, nue, négligée, le visage souillé par les sécrétions de ses 50 clientes et s’endormit comme une masse.
Lorsqu’il fut enfin temps de rentrer, elles ne purent trouver les vêtements d’Allie. Une des étuidantes lui prêta un sweatshirt qui ne couvrait qu’à peine ses fesses.
Lorsque l’adolescente se fut assise dans la BMW de sa Maîtresse, elle s’endormit aussitôt sur le siège passager. Son sweatshirt s’était soulevé, Nicole eut une vue imprenable sur le sexe de l’adolescente pendant tout le voyage de retour. Elle était au paradis, Allie était vraiment la parfaite petite esclave dont elle avait rêvé.
Nicole avait aussi donné son numéro à certaines des filles qu’elles venaient de rencontrer. Elle espérait ainsi qu’elle pourrait prostituer Allie occasionellement. Cette gamine allait lui rapporter encore pas mal d’argent, c’était sûr.