Allie et Nicole (9) |
Adaptation française par Perverpeper le 16/11/09
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Avant-propos : Ce conte entièrement fictif est l’adaptation française de l’œuvre américaine d’un auteur dont le pseudonyme est "Annie the slick" que j’ai trouvé sur le site "BdsmLibrary" : (http://www.bdsmlibrary.com/stories/author.php?authorid=292)
Elle y a publié deux autres textes : "Modern Maid" et "L.E.Z. – The Lesbian Sorority".
Après avoir contacté Annie par email, elle m’a donné l’autorisation d’adapter son texte en français et de le publier. Sachez qu’il fait l’objet d’un copyright et ne doit donc pas être posté sur d’autres sites sans l’autorisation formelle de l’auteur.
Si cette adaptation vous intéresse et que vous souhaitez lire les autres histoires d’Annie en français, veuillez me contacter à l’adresse suivante : perverpeper@ifrance.com (ou bien sur mon site : http://www.perverpeper.com).
Dans l’attente de vos réactions et commentaires…
PP
Synopsis : Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par sa baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. La pauvre Allie sera humiliée, forcée à satisfaire sa nouvelle maîtresse de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.
Chapitre 9 : Betsy vient dîner (2ème partie).
Après manger, Betsy et Nicole s’installèrent dans le salon laissant l’adolescente débarrasser la table et nettoyer. Celle-ci ne se pressa pas, faisant durer le temps, comme si elle voulait retarder l’instant où elle devrait se livrer aux deux femmes.
Elle n’en avait pas encore fait la moitié lorsque Nicole entra dans la cuisine. Elle tenait à la main le gode-ceinture que Betsy venait de lui offrir.
— Esclave, j’ai besoin de ton aide pour mettre mon cadeau, attache-le sur ta Maîtresse.
Elle lui tendit l’objet en caoutchouc.
C’était un godemiché noir brillant, d’une longueur d’environ 20 centimètres.
Nicole avait défait son pantalon et attendait, dans l’expectative.
Engourdie par la terreur que lui inspirait l’objet, Allie le mit en place gauchement, touchant le membre factice avec beaucoup de retenue, le positionnant contre l’entrecuisse de sa Maîtresse avant d’attacher les lanières. Elle fit passer la lanière entre les jambes de sa Maitresse et la serra fermement pour qu’il soit maintenu correctement en place.
— Sangle-le bien, esclave. Je veux pouvoir te baiser bien à fond.
Allie obéit en tremblant, et reserra les lanières aussi fort que possible.
Lorsque ce fut fait, Nicole la remercia et remonta son pantalon, glissant le membre factice à l’intérieur. Elle resta un moment dans la cuisine, observant l’adolescente ranger et faire la vaisselle, sa jupe était si courte qu’elle révelait ses fesses nues à chaque mouvement. Nicole s’approcha d’elle, se plaça dans son dos pendant qu’elle nettoyait la dernière assiette et s’appuya contre le corps de l’adolescente.
— Alors ? Tu es prête à pour la grande baise ?
Sa main glissa entre les cuisses d’Allie et se mit à jouer avec son sexe.
— Je veux être sûre que tu es prête à accueillir ma bite convenablement.
Ses doigts farfouillèrent un instant contre le pubis glâbre avant de se glisser entre les lèvres légèrement humides.
— Tu commences à mouiller, c’est ma grosse queue que te fait cet effet ?
— Oui Maîtresse. Répondit Allie.
Elle avait de plus en plus de mal à finir la vaisselle.
Nicole sentait les sécrétions humidifier l’entre-cuisse de l’adolescente. Elle enfonça un doigt dans son vagin. Elle est si chaude, pensa-t-elle, il faut que je la prenne maintenant, ici. Elle défit son pantalon et sortit le membre en caoutchouc, le guida jusqu’à l’ouverture de l’adolescente et appuya doucement.
Allie poussa un cri en sentant le godemiché entrer en contact avec son sexe.
— Je vous en prie Maîtresse, pas ça… Non, ne me faites pas ça…
Nicole ignora les protestations de l’adolescente. Elle poussa lentement le gode contre le sexe juvénile. Elle patienta un moment à l’entrée de la vulve puis la pénétra irrémédiablement.
Allie posa ses mains de chaque côté de l’évier et arqua son corps pendant que sa Maîtresse s’appropriait sa virginité.
Pendant ce temps, Betsy, qui trouvait le temps long, s’était laissée guider par sa curiosité jusqu’à l’entrée de la cuisine. Elle assista à la défloration de l’adolescente. Bon dieu, qu’elle est chaude, pensa-t-elle, elle n’a pas pu patienter plus longtemps avant de tester le cadeau que j’ai offert à sa Maîtresse.
La serveuse ouvrit la braguette de son pantalon et exhiba obscènement son propre membre factice à travers l’ouverture.
Nicole se retira complètement avant de pousser plus en avant, elle gagna quelques centimètres. Puis elle lima pendant quelques secondes le sexe étroit de l’adolescente, se retirant presque intégralement, ne laissant à l’intérieur que la tête du godemiché à l’intérieur de la vulve juvénile. Enfin, d’un mouvement puissant elle enfonça l’objet en plastique jusqu’à la garde, plaquant son bassin contre les petites fesses de l’adolescente.
Allie poussa un nouveau cri, qui s’apparentait beaucoup moins à un gémissement de douleur. Les lanières du gode-ceinture s’imprimèrent dans la chair tendre de ses fesses.
Nicole se mit à besogner la jeune fille à un rythme lent, à chacun de ses coups de reins, l’eau eclaboussait l’évier.
Bientôt, l’adolescente oublia ses craintes et se mit à gémir sous les coups de boutoir de sa Maîtresse.
Nicole attrapa les cheveux de l’adolescente et lui fit tourner la tête vers son invitée. Dans le même temps, elle fit signe de s’avancer à la jeune femme.
Betsy s’avança vers les deux femmes en train de copuler. Nicole avait poussé sur la tête de l’adolescente, la forçant à se pencher vers son entrejambe, la bouche à quelques centimètres du membre factice qui pointait hors de son pantalon.
— Suce la queue de Betsy, salope.
Allie prit le membre de Betsy entre ses lèvres. Elle n’eut pas conscience de la suite, le godemiché qui pistonait son vagin l’envoyait lentement mais sûrement au 7e ciel. Nicole baisait sa vulve et Betsy allait et venait dans sa bouche.
— C’est vraiment une putain de salope, dit Betsy en entrant et en sortant de la bouche offerte.
— Allons dans le salon, lui répondit Nicole.
Betsy ressortit de la bouche de l’adolescente. Nicole la fit se redresser en laissant son membre ressortir de la fente juteuse et rabattit sa jupe sur ses fesses.
Elles emmenèrent la jeune fille, abrutie par le traitement qu’elle venait de subir, jusqu’au salon.
Les deux jeunes femmes s’assirent sur le canapé, les membres factices toujours érigés entre leurs cuisses.
— Qu’est-ce qu’on s’amuse. Dit Nicole. — Ok salope, maintenant tu vas nous faire une petite danse bien sexy pour bien faire bander ces queues qui te regardent. Comme tu rêves qu’elles te baisent, montre leur bien à quel point tu es salope, espèce de petit garage à bites.
Allie se mit à danser langoureusement, exhibant ses fesses en ondulant des hanches devant les deux femmes.
— Ote ton petit copain de ton cul, petite pute. Ce soir, ton anus doit être disponible pour nos queues.
Allie était dans une transe proche de l’extase, elle continua à danser en retirant le gadget anal qui obstruait son rectum. Le vide qu’elle ressentit l’étonna, elle l’avait en elle depuis quatre jours complets maintenant. Elle continua son strip-tease en offrant aux deux femmes un spectacle de qualité, se penchant en avant pour écarter ses fesses, s’asseyant par terre en position de "grand-écart", exhibant ses charmes avec une impudeur qu’elle ne contrôlait plus. Ses vêtements gisaient sur le sol et elle ondulait, nue, devant ses deux admiratrices.
— Amène toi par ici, petite salope, et viens t’asseoir sur ma bite. Dit Betsy.
L’excitation qui habitait l’adolescente l’obsedait à un point tel qu’elle ne pensait plus qu’à jouir. Elle avait complètement oublié son dépucelage et était prête à tout pour arriver à l’orgasme. Elle s’approcha de la jeune femme et se présenta, accroupie, face à elle, poussant son sexe imberbe et rougi contre le membre factice. Elle plia les genoux, faisant pénétrer le gode dans son intimité qui était tellement lubrifiée que l’olisbos pénétra d’un coup sur une dizaine de centimètres. Il ne lui fallut que deux aller-retours pour se l’enfoncer jusqu’à la garde.
Elle commença à aller et venir au-dessus de la jeune femme, s’empalant toute seule, comme si sa vie en dépendait.
Rapidement, elle se mit à jouir.
— Brave petite salope. Lui dit Betsy en caressant ses petits seins à peine formés.
Nicole se leva et s’approcha de l’adolescente par derrière.
— Esclave ! Quelle est la règle numéro 1 ? Demanda-t-elle.
— Ob… Obéir à ma Maît… À ma Maîtresse. Répondit la jeune fille entre deux flexions sur le sexe de Betsy.
— Arrête de bouger et penche-toi en avant.
Allie fit ce qu’on lui ordonnait et s’affala contre Betsy. Elle sentit sa Maîtresse ajuster le deuxième gode à l’entrée de son petit trou.
— Demande-moi de te sodomiser, salope.
— Maîtresse… Baisez-moi dans le cul s’il vous plaît.
La raison d’Allie l’avait abandonnée. Une seule chose comptait : Etre baisée à fond et des deux côtés.
Nicole appuya l’extrémité du membre factice contre le rectum dilaté de l’adolescente. Le gadget anal qu’elle avait porté si longtemps avait si bien relâché les muscles, qu’elle pénétra sans difficultés et s’enfonça d’une dizaine de centimètres à la première poussée.
— HHMMMHHHH. Grogna Allie en accueillant sans retenue la sodomisation.
Nicole ressortit et poussa à nouveau. Rapidement elle enfouit toute la longueur de son membre entre les fesses d’Allie et se mit à aller et venir en calant le rythme des ses coups de reins sur celui de Betsy.
— Quelle pute ! Il n’y a qu’une sale pute pour aimer autant que ça de se faire baiser des deux côté à la fois. Dit Nicole en faisant coulisser son godemiché dans l’anus de l’adolescente, s’enfonçant le plus profondément possible dans ses entrailles.
Allie se mit à onduler au rythme des coups de reins de ses Maîtressse, gémissant à chaque pénétration. Elle était comblée. Les deux substitus de sexe qui la pénétraient la menaient au 7e ciel aussi sûrement que sa Maîtresse lorsqu’elle la masturbait. Elle se mit à ruer de façon désordonnée et ses yeux roulèrent dans leurs orbites révelant le blanc de ses globes occulaires. Son orgasme l’emporta comme un torrent en fusion. Elle s’écroula sur Betsy pendant que les deux femmes continuaient à la pistonner, se désintéressant de l’état comateux dans lequel elle venait de plonger.
Ses deux Maîtresses la prirent pendant des heures, dans toutes les positions possibles et de toutes les façons possibles. Elles échangèrent souvent leurs places, lui imposant à chaque fois de nettoyer leur membre factice souillés par ses hûmeurs.
Plus tard, les deux femmes terminèrent la nuit dans les bras l’une de l’autre, sur le lit de Nicole, tandis que l’adolescente rompue et épuisée s’était endormie sur le sol du salon.
Le lendemain matin, les deux femmes se réveillèrent et prirent une douche ensemble. Bien entendu, Allie dut les laver toutes les deux tandis qu’elles s’embrassaient dans la douche.
Puis l’adolescente passa la matinée à préparer leur petit-déjeûner et à se plier à la moindre de leurs exigences.
— Waow, quel bonheur d’avoir sa propre petite esclave sexuelle. Disait Betsy en buvant son thé pendant que l’adolescente, toujours nue, vêtue uniquement de son collier de chien lui vernissait les ongles de pieds.
— Oui, chaque femme moderne devrait en avoir une pour satisfaire à tous ses besoins. On devrait en chercher une pour toi, Betsy.
— Tu as raison, mais où trouver ce genre de petite salope ?
— J’ai bien une petite idée sur la question… Peut-être que l’une de ces petites majorettes du lycée pourrait faire l’affaire… Hmmm, eventuellement Britney pourrait être guidée vers ce en quoi consiste sa vraie place. Je vais-y réfléchir.
Betsy ne s’en alla pas avant la fin de l’après-midi, profitant toute la journée des soins attentifs et respectueux de l’adolescente.